La date du référendum constitutionnel en Guinée est maintenant fixée au 21 septembre 2025, a annoncé le général Mamadi Doumbouya, président de la transition, dans ses vœux du Nouvel An. Cette annonce intervient alors que le gouvernement, via le ministre de l’Administration du territoire, le général Ibrahima Kalil Condé, affirme que la tenue des élections cette année est “certaine”. Cependant, malgré l'annonce positive, de nombreuses questions subsistent, notamment en ce qui concerne la confection du fichier électoral crucial pour le scrutin.
Le président Doumbouya avait initialement promis un retour à l'ordre constitutionnel avant fin 2024, une échéance qui n'a pas été respectée. Cette nouvelle date, fixée à septembre 2025, marque une étape importante dans le processus de transition, mais soulève des inquiétudes quant à la préparation du scrutin.
Le gouvernement reste ferme sur son intention d’exploiter le Recensement à vocation d’état civil (RAVEC) pour établir le fichier électoral. Des sources confirment que ce recensement est cependant suspendu depuis plus d'un mois, une information révélée par RFI et confirmée par le Premier ministre Bah Oury dans une interview accordée au magazine Jeune Afrique.
Ce retard crucial sur le RAVEC est un obstacle majeur à l'organisation du référendum. Le manque d'un fichier électoral fiable et à jour remet en question la validité du processus de consultation populaire et pourrait engendrer des contestations et des tensions sociales.
La date du référendum constitutionnel en Guinée est maintenant fixée au 21 septembre 2025, a annoncé le général Mamadi Doumbouya, président de la transition, dans ses vœux du Nouvel An. Cette annonce intervient alors que le gouvernement, via le ministre de l’Administration du territoire, le général Ibrahima Kalil Condé, affirme que la tenue des élections cette année est “certaine”. Cependant, malgré l'annonce positive, de nombreuses questions subsistent, notamment en ce qui concerne la confection du fichier électoral crucial pour le scrutin.
Le président Doumbouya avait initialement promis un retour à l'ordre constitutionnel avant fin 2024, une échéance qui n'a pas été respectée. Cette nouvelle date, fixée à septembre 2025, marque une étape importante dans le processus de transition, mais soulève des inquiétudes quant à la préparation du scrutin.
Le gouvernement reste ferme sur son intention d’exploiter le Recensement à vocation d’état civil (RAVEC) pour établir le fichier électoral. Des sources confirment que ce recensement est cependant suspendu depuis plus d'un mois, une information révélée par RFI et confirmée par le Premier ministre Bah Oury dans une interview accordée au magazine Jeune Afrique.
Ce retard crucial sur le RAVEC est un obstacle majeur à l'organisation du référendum. Le manque d'un fichier électoral fiable et à jour remet en question la validité du processus de consultation populaire et pourrait engendrer des contestations et des tensions sociales.
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