L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a exprimé sa « profonde inquiétude » suite à la décision récente de l’administration Trump de suspendre le financement de programmes de lutte contre le sida dans les pays en développement. Ce mardi, l’OMS a publié un communiqué pressant le gouvernement américain de reconsidérer sa position et d’accorder des exemptions nécessaires pour assurer la continuité des soins vitaux liés au VIH.
La suspension de l'aide américaine, annoncée peu après l’investiture de Donald Trump pour un second mandat, concerne principalement le programme PEPFAR (President's Emergency Plan for AIDS Relief) mis en place en 2003. Ce programme, considéré comme l'un des plus grands succès de la lutte contre le sida, a permis de fournir des traitements essentiels à près de 30 millions de personnes à travers le monde. Désormais, cette aide ne concerne plus que des pays comme l'Égypte et Israël ainsi que l'assistance alimentaire d'urgence.
Le VIH, qui touche actuellement environ 39 millions de personnes à l’échelle planétaire, reste une menace sanitaire majeure. Le secrétaire général de l’ONU a, lui aussi, appelé à des « exemptions supplémentaires » pour atténuer l'impact de cette décision sur les populations vulnérables. L’OMS alerte que l’arrêt des financements pourrait entraîner une augmentation des maladies et des décès parmi les personnes vivant avec le VIH.
« L'arrêt du financement des programmes de lutte contre le VIH compromet la prévention et le traitement dans les pays les plus touchés », a déclaré un porte-parole de l’OMS. Le programme PEPFAR, qui a contribué à sauver plus de 26 millions de vies et fournissant un traitement à plus de 20 millions de personnes, est désormais en péril.
Face à cette crise, l’OMS et ses partenaires ont déjà commencé à réduire leur dépendance vis-à-vis des donateurs, mais un arrêt soudain des programmes compromettrait gravement les efforts déployés. « Un manque de transition en douceur met en danger la vie de millions de personnes », conclut le communiqué de l’OMS.
La situation est d'autant plus préoccupante que le programme de lutte contre le VIH fait l'objet d'une attention croissante en raison des avancées récentes dans la prévention et le traitement. La communauté internationale se trouve à la croisée des chemins, et la réponse des États-Unis pourrait déterminer l'issue de cette lutte cruciale.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a exprimé sa « profonde inquiétude » suite à la décision récente de l’administration Trump de suspendre le financement de programmes de lutte contre le sida dans les pays en développement. Ce mardi, l’OMS a publié un communiqué pressant le gouvernement américain de reconsidérer sa position et d’accorder des exemptions nécessaires pour assurer la continuité des soins vitaux liés au VIH.
La suspension de l'aide américaine, annoncée peu après l’investiture de Donald Trump pour un second mandat, concerne principalement le programme PEPFAR (President's Emergency Plan for AIDS Relief) mis en place en 2003. Ce programme, considéré comme l'un des plus grands succès de la lutte contre le sida, a permis de fournir des traitements essentiels à près de 30 millions de personnes à travers le monde. Désormais, cette aide ne concerne plus que des pays comme l'Égypte et Israël ainsi que l'assistance alimentaire d'urgence.
Le VIH, qui touche actuellement environ 39 millions de personnes à l’échelle planétaire, reste une menace sanitaire majeure. Le secrétaire général de l’ONU a, lui aussi, appelé à des « exemptions supplémentaires » pour atténuer l'impact de cette décision sur les populations vulnérables. L’OMS alerte que l’arrêt des financements pourrait entraîner une augmentation des maladies et des décès parmi les personnes vivant avec le VIH.
« L'arrêt du financement des programmes de lutte contre le VIH compromet la prévention et le traitement dans les pays les plus touchés », a déclaré un porte-parole de l’OMS. Le programme PEPFAR, qui a contribué à sauver plus de 26 millions de vies et fournissant un traitement à plus de 20 millions de personnes, est désormais en péril.
Face à cette crise, l’OMS et ses partenaires ont déjà commencé à réduire leur dépendance vis-à-vis des donateurs, mais un arrêt soudain des programmes compromettrait gravement les efforts déployés. « Un manque de transition en douceur met en danger la vie de millions de personnes », conclut le communiqué de l’OMS.
La situation est d'autant plus préoccupante que le programme de lutte contre le VIH fait l'objet d'une attention croissante en raison des avancées récentes dans la prévention et le traitement. La communauté internationale se trouve à la croisée des chemins, et la réponse des États-Unis pourrait déterminer l'issue de cette lutte cruciale.
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