L'OMS face à une nouvelle épidémie de variole du singe en Afrique

Un comité d'urgence convoqué
Tag: #RDC #Mpox #Épidémie #Virus #OMS
Publié le 08 August 2024, par Cheetah.News - Site d'information et d'Analyses.
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La variole du singe, également connue sous le nom de Mpox, refait surface en Afrique, notamment en République démocratique du Congo (RDC), où l'épidémie a déjà fait plus de 11 000 cas et près de 450 décès. Deux ans après la précédente crise mondiale, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé la convocation de son comité d'urgence pour évaluer la situation et déterminer si cette épidémie doit être qualifiée d'urgence internationale.
 

La nouvelle souche du virus présente des caractéristiques alarmantes. Elle se propage plus facilement que les variants précédents et touche désormais non seulement les populations à risque, mais aussi les familles, les enfants et les écoles. Les chercheurs indiquent que le taux de mortalité pourrait atteindre 10 % chez les enfants, ce qui soulève de sérieuses inquiétudes parmi les autorités sanitaires.
 

L'épidémie s'étend également au-delà des frontières de la RDC. Des cas ont été signalés dans plusieurs pays voisins, notamment au Congo-Brazzaville (146 cas) et en République centrafricaine (227 cas). D'autres pays comme le Cameroun, le Nigeria, l'Afrique du Sud et le Rwanda ne sont pas non plus épargnés par cette résurgence du virus.
Face à cette situation, l'OMS a exprimé sa préoccupation et son engagement à intensifier les efforts pour contenir la propagation du virus. Le directeur de l'organisation a souligné la nécessité de financements et de soutien accrus pour faire face à cette crise sanitaire.
 

Le comité d'urgence sur le Mpox se réunira dans les meilleurs délais pour évaluer la situation et décider des mesures à prendre. L'OMS craint que cette épidémie ne déborde du continent africain, entraînant une nouvelle crise mondiale.

La variole du singe, également connue sous le nom de Mpox, refait surface en Afrique, notamment en République démocratique du Congo (RDC), où l'épidémie a déjà fait plus de 11 000 cas et près de 450 décès. Deux ans après la précédente crise mondiale, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé la convocation de son comité d'urgence pour évaluer la situation et déterminer si cette épidémie doit être qualifiée d'urgence internationale.
 

La nouvelle souche du virus présente des caractéristiques alarmantes. Elle se propage plus facilement que les variants précédents et touche désormais non seulement les populations à risque, mais aussi les familles, les enfants et les écoles. Les chercheurs indiquent que le taux de mortalité pourrait atteindre 10 % chez les enfants, ce qui soulève de sérieuses inquiétudes parmi les autorités sanitaires.
 

L'épidémie s'étend également au-delà des frontières de la RDC. Des cas ont été signalés dans plusieurs pays voisins, notamment au Congo-Brazzaville (146 cas) et en République centrafricaine (227 cas). D'autres pays comme le Cameroun, le Nigeria, l'Afrique du Sud et le Rwanda ne sont pas non plus épargnés par cette résurgence du virus.
Face à cette situation, l'OMS a exprimé sa préoccupation et son engagement à intensifier les efforts pour contenir la propagation du virus. Le directeur de l'organisation a souligné la nécessité de financements et de soutien accrus pour faire face à cette crise sanitaire.
 

Le comité d'urgence sur le Mpox se réunira dans les meilleurs délais pour évaluer la situation et décider des mesures à prendre. L'OMS craint que cette épidémie ne déborde du continent africain, entraînant une nouvelle crise mondiale.