La Côte d'Ivoire a enregistré six cas de variole du singe, connue sous le nom de « monkey pox », selon une annonce faite par le directeur général de l’Institut national de l’hygiène publique (INHP) ce jour. Ces cas, qualifiés de « non-mortels » par les autorités sanitaires, marquent la première occurrence de cette maladie dans le pays depuis le début de la résurgence mondiale de l'épidémie en 2022.
Le premier cas identifié concerne un ouvrier agricole résidant dans le district de Tabou, situé à l’ouest du pays. Les cinq autres cas ont été détectés dans la capitale économique, Abidjan, spécifiquement dans les communes de Koumassi et de Yopougon. Bien que le virus soit connu pour se transmettre de l’animal à l’homme et d’homme à homme, la chaîne de transmission pour ces six cas reste encore non déterminée.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a recommandé l'utilisation du terme « Mpox » pour désigner cette maladie, tout en reconnaissant que l'appellation « variole du singe » est encore largement utilisée. Les symptômes de la variole du singe incluent une fièvre éruptive, et bien que la maladie ne soit pas souvent mortelle, elle nécessite une attention particulière pour éviter toute propagation.
Les autorités sanitaires ivoiriennes travaillent en étroite collaboration avec l'OMS pour surveiller la situation et mener des investigations afin de mieux comprendre l'origine de ces cas. Les mesures de prévention et de sensibilisation sont également mises en place pour informer la population sur les risques et les moyens de protection.
La Côte d'Ivoire a enregistré six cas de variole du singe, connue sous le nom de « monkey pox », selon une annonce faite par le directeur général de l’Institut national de l’hygiène publique (INHP) ce jour. Ces cas, qualifiés de « non-mortels » par les autorités sanitaires, marquent la première occurrence de cette maladie dans le pays depuis le début de la résurgence mondiale de l'épidémie en 2022.
Le premier cas identifié concerne un ouvrier agricole résidant dans le district de Tabou, situé à l’ouest du pays. Les cinq autres cas ont été détectés dans la capitale économique, Abidjan, spécifiquement dans les communes de Koumassi et de Yopougon. Bien que le virus soit connu pour se transmettre de l’animal à l’homme et d’homme à homme, la chaîne de transmission pour ces six cas reste encore non déterminée.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a recommandé l'utilisation du terme « Mpox » pour désigner cette maladie, tout en reconnaissant que l'appellation « variole du singe » est encore largement utilisée. Les symptômes de la variole du singe incluent une fièvre éruptive, et bien que la maladie ne soit pas souvent mortelle, elle nécessite une attention particulière pour éviter toute propagation.
Les autorités sanitaires ivoiriennes travaillent en étroite collaboration avec l'OMS pour surveiller la situation et mener des investigations afin de mieux comprendre l'origine de ces cas. Les mesures de prévention et de sensibilisation sont également mises en place pour informer la population sur les risques et les moyens de protection.
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