Le récent désengagement de TotalEnergies de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR) soulève des questions quant à son impact sur l'économie ivoirienne. Alors que le président Alassane Ouattara exprimait ses préoccupations concernant le retrait des entreprises françaises d'activités clés en Côte d'Ivoire, TotalEnergies a décidé de céder ses parts dans la SIR, malgré son statut de leader national dans la distribution et la commercialisation des produits pétroliers.
Cette décision intervient après le départ de Shell de la SIR au début des années 2000, soulignant une tendance de désengagement des majors occidentales dans le raffinage en Afrique. Alors que l'État ivoirien contrôle une part importante de la SIR à travers Petroci, la rétrocession des parts de TotalEnergies à des nationaux pourrait être une stratégie pour renforcer le contrôle local sur l'industrie pétrolière.
Cependant, les conséquences de cette transition restent à déterminer.
La cession des parts de TotalEnergies pourrait ouvrir la voie à de nouveaux acteurs locaux dans le secteur du raffinage en Côte d'Ivoire, stimulant potentiellement l'innovation et la concurrence. D'un autre côté, la sortie d'un acteur majeur comme TotalEnergies pourrait également entraîner des changements dans la chaîne d'approvisionnement et la tarification des produits pétroliers.
Le récent désengagement de TotalEnergies de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR) soulève des questions quant à son impact sur l'économie ivoirienne. Alors que le président Alassane Ouattara exprimait ses préoccupations concernant le retrait des entreprises françaises d'activités clés en Côte d'Ivoire, TotalEnergies a décidé de céder ses parts dans la SIR, malgré son statut de leader national dans la distribution et la commercialisation des produits pétroliers.
Cette décision intervient après le départ de Shell de la SIR au début des années 2000, soulignant une tendance de désengagement des majors occidentales dans le raffinage en Afrique. Alors que l'État ivoirien contrôle une part importante de la SIR à travers Petroci, la rétrocession des parts de TotalEnergies à des nationaux pourrait être une stratégie pour renforcer le contrôle local sur l'industrie pétrolière.
Cependant, les conséquences de cette transition restent à déterminer.
La cession des parts de TotalEnergies pourrait ouvrir la voie à de nouveaux acteurs locaux dans le secteur du raffinage en Côte d'Ivoire, stimulant potentiellement l'innovation et la concurrence. D'un autre côté, la sortie d'un acteur majeur comme TotalEnergies pourrait également entraîner des changements dans la chaîne d'approvisionnement et la tarification des produits pétroliers.
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