Dans un rapport de l’Organisation internationale du Travail (OIT) publié le mardi 19 mars 2024, l’organisation onusienne souligne que le travail forcé dans le secteur privé génère 236 milliards de dollars de profits illicites par an. L’OIT note que le montant total de ces profits a augmenté de 64 milliards de dollars depuis 2014. Selon ledit rapport, les trafiquants et les criminels tirent plus de 10 000 dollars par victime contre 8 269 dollars, il y a dix ans. Sur la liste, l’industrie du sexe concentre à elle seule, les trois quarts du total des profits illicites. Face à ce tableau deshumanisant, l’OIT a insisté dans son rapport sur l’urgence d’intensifier les mesures répressives pour limiter voire enrayer le flux de ces revenus illicites et traduire en justice les mis en cause. C’est dire que des mesures pourraient voir le jour très prochainement dans les Etats pour la promotion de travail décent et la répression de toute forme d’exploitation.
Dans un rapport de l’Organisation internationale du Travail (OIT) publié le mardi 19 mars 2024, l’organisation onusienne souligne que le travail forcé dans le secteur privé génère 236 milliards de dollars de profits illicites par an. L’OIT note que le montant total de ces profits a augmenté de 64 milliards de dollars depuis 2014. Selon ledit rapport, les trafiquants et les criminels tirent plus de 10 000 dollars par victime contre 8 269 dollars, il y a dix ans. Sur la liste, l’industrie du sexe concentre à elle seule, les trois quarts du total des profits illicites. Face à ce tableau deshumanisant, l’OIT a insisté dans son rapport sur l’urgence d’intensifier les mesures répressives pour limiter voire enrayer le flux de ces revenus illicites et traduire en justice les mis en cause. C’est dire que des mesures pourraient voir le jour très prochainement dans les Etats pour la promotion de travail décent et la répression de toute forme d’exploitation.
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