Les tensions entre le Mali et le géant minier Barrick Gold continuent de s'intensifier, alors que le gouvernement malien poursuit sa volonté de reprendre le contrôle de ses ressources minières. Après la nationalisation de la mine de Yatela dans la région de Kayes, cédée à l'État pour un franc symbolique, c'est au tour de la société canadienne Barrick Gold d'être dans le viseur des autorités maliennes.
En effet, un communiqué commun des ministères des Mines et de l'Économie a accusé Barrick Gold de ne pas respecter ses engagements suite à un accord transactionnel. Cette affaire risque d'entraîner un nouveau bras de fer entre le Mali et Barrick Gold, qui détient d'importantes concessions minières dans le pays.
Le gouvernement malien, sous la direction du président Assimi Goita, semble déterminé à reprendre le contrôle de ses ressources minières et à garantir une meilleure redistribution des revenus générés par l'exploitation minière. Cette politique pourrait avoir des répercussions importantes sur les investissements étrangers dans le secteur minier au Mali, mais elle semble répondre aux attentes de la population malienne qui réclame depuis longtemps une meilleure exploitation des ressources du pays.
Les tensions entre le Mali et le géant minier Barrick Gold continuent de s'intensifier, alors que le gouvernement malien poursuit sa volonté de reprendre le contrôle de ses ressources minières. Après la nationalisation de la mine de Yatela dans la région de Kayes, cédée à l'État pour un franc symbolique, c'est au tour de la société canadienne Barrick Gold d'être dans le viseur des autorités maliennes.
En effet, un communiqué commun des ministères des Mines et de l'Économie a accusé Barrick Gold de ne pas respecter ses engagements suite à un accord transactionnel. Cette affaire risque d'entraîner un nouveau bras de fer entre le Mali et Barrick Gold, qui détient d'importantes concessions minières dans le pays.
Le gouvernement malien, sous la direction du président Assimi Goita, semble déterminé à reprendre le contrôle de ses ressources minières et à garantir une meilleure redistribution des revenus générés par l'exploitation minière. Cette politique pourrait avoir des répercussions importantes sur les investissements étrangers dans le secteur minier au Mali, mais elle semble répondre aux attentes de la population malienne qui réclame depuis longtemps une meilleure exploitation des ressources du pays.
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