Selon le dernier indice de perception de la corruption (IPC) de Transparency International, le Bénin se positionne en tête du classement des pays de l'UEMOA en termes de lutte contre la corruption. Cette nouvelle vient confirmer les efforts du gouvernement béninois dans la lutte contre ce fléau qui entrave le développement économique et social du pays.
L'IPC classe 180 pays et territoires dans le monde en fonction du niveau perçu de corruption dans le secteur public. Le Bénin a su maintenir et même améliorer son score par rapport aux années précédentes, ce qui témoigne de la volonté politique et des actions concrètes mises en place pour lutter contre la corruption.
Cette performance du Bénin est d'autant plus remarquable que la plupart des pays africains stagnent en matière de lutte contre la corruption, selon Transparency International. Avec 23 pays africains ayant amélioré leurs scores à l'IPC en 2023, il est clair que des progrès sont en cours dans la région, mais il reste encore beaucoup à faire pour éradiquer ce fléau.
Les malversations et les risques de corruption entravent en effet l'obtention de taux d'investissement plus élevés, comme l'ont souligné l'OCDE et la Banque africaine de développement. En 2015, la BAD avait estimé à 148 milliards de dollars américains le montant des pertes annuelles en Afrique dues à la corruption, soulignant ainsi l'urgence de renforcer les efforts dans ce domaine.
Le Bénin, en se hissant en tête du classement de la lutte contre la corruption dans l'UEMOA, montre l'exemple et démontre qu'il est possible de progresser dans ce domaine crucial pour assurer un développement durable et équitable. Espérons que d'autres pays du continent emboîtent le pas et renforceront leurs actions contre la corruption pour un avenir meilleur pour tous.
Selon le dernier indice de perception de la corruption (IPC) de Transparency International, le Bénin se positionne en tête du classement des pays de l'UEMOA en termes de lutte contre la corruption. Cette nouvelle vient confirmer les efforts du gouvernement béninois dans la lutte contre ce fléau qui entrave le développement économique et social du pays.
L'IPC classe 180 pays et territoires dans le monde en fonction du niveau perçu de corruption dans le secteur public. Le Bénin a su maintenir et même améliorer son score par rapport aux années précédentes, ce qui témoigne de la volonté politique et des actions concrètes mises en place pour lutter contre la corruption.
Cette performance du Bénin est d'autant plus remarquable que la plupart des pays africains stagnent en matière de lutte contre la corruption, selon Transparency International. Avec 23 pays africains ayant amélioré leurs scores à l'IPC en 2023, il est clair que des progrès sont en cours dans la région, mais il reste encore beaucoup à faire pour éradiquer ce fléau.
Les malversations et les risques de corruption entravent en effet l'obtention de taux d'investissement plus élevés, comme l'ont souligné l'OCDE et la Banque africaine de développement. En 2015, la BAD avait estimé à 148 milliards de dollars américains le montant des pertes annuelles en Afrique dues à la corruption, soulignant ainsi l'urgence de renforcer les efforts dans ce domaine.
Le Bénin, en se hissant en tête du classement de la lutte contre la corruption dans l'UEMOA, montre l'exemple et démontre qu'il est possible de progresser dans ce domaine crucial pour assurer un développement durable et équitable. Espérons que d'autres pays du continent emboîtent le pas et renforceront leurs actions contre la corruption pour un avenir meilleur pour tous.
Economie
