La tension monte dans la région alors que le Niger met en œuvre sa menace de fermer les vannes de l'exportation de son pétrole via le Bénin. Cette décision intervient après l'arrestation de cinq ressortissants nigériens sur le terminal du pipeline entre les deux pays à Sèmè-Podji.
Lors d'une mission effectuée par le ministre nigérien en charge du pétrole sur le champ pétrolier d’Agadem dans la région de Diffa, il a été confirmé que plus aucune goutte de pétrole ne coule du Niger vers le Bénin. La fermeture des vannes du brut nigérien destiné à l’exportation a été ordonnée par les militaires au pouvoir à Niamey depuis le 23 juillet 2023, suite à l’interpellation des cinq Nigériens au Bénin.
Selon le ministre nigérien du pétrole, la réouverture des vannes et la poursuite de l’exportation du brut via l’oléoduc entre le Bénin et le Niger dépendent d'une condition majeure : la présence du Niger sur la station terminale du pipeline à Sèmè-Podji. Cette décision a des répercussions économiques importantes pour les deux pays.
La fermeture des vannes entrave le flux d'un produit vital pour l'économie béninoise et prive le Niger d'importantes rentrées financières provenant de l'exportation de son pétrole. Les autorités des deux pays cherchent actuellement une solution à ce différend, conscientes des conséquences économiques néfastes d'une impasse prolongée.
La tension monte dans la région alors que le Niger met en œuvre sa menace de fermer les vannes de l'exportation de son pétrole via le Bénin. Cette décision intervient après l'arrestation de cinq ressortissants nigériens sur le terminal du pipeline entre les deux pays à Sèmè-Podji.
Lors d'une mission effectuée par le ministre nigérien en charge du pétrole sur le champ pétrolier d’Agadem dans la région de Diffa, il a été confirmé que plus aucune goutte de pétrole ne coule du Niger vers le Bénin. La fermeture des vannes du brut nigérien destiné à l’exportation a été ordonnée par les militaires au pouvoir à Niamey depuis le 23 juillet 2023, suite à l’interpellation des cinq Nigériens au Bénin.
Selon le ministre nigérien du pétrole, la réouverture des vannes et la poursuite de l’exportation du brut via l’oléoduc entre le Bénin et le Niger dépendent d'une condition majeure : la présence du Niger sur la station terminale du pipeline à Sèmè-Podji. Cette décision a des répercussions économiques importantes pour les deux pays.
La fermeture des vannes entrave le flux d'un produit vital pour l'économie béninoise et prive le Niger d'importantes rentrées financières provenant de l'exportation de son pétrole. Les autorités des deux pays cherchent actuellement une solution à ce différend, conscientes des conséquences économiques néfastes d'une impasse prolongée.
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