Dans une tournure d'événements qui a surpris beaucoup d'observateurs, Donald Trump a été investi président des États-Unis pour un second mandat, devenant ainsi le 47e président de l'histoire du pays. Lors de son discours inaugural, prononcé sous la coupole du Capitole, Trump a déclaré : "L'âge d'or de l'Amérique commence", affirmant sa volonté de restaurer la grandeur du pays après des années de turbulence.

À 78 ans, Trump devient le plus ancien président américain investi, marquant un retour spectaculaire après sa défaite en 2020 face à Joe Biden. Son ascension au pouvoir est marquée par un parcours atypique, le milliardaire républicain n’ayant jamais reconnu sa défaite et ayant suscité des tensions politiques sans précédent.
La cérémonie d'investiture, bien que marquée par un protocole habituellement festif, a été modifiée en raison de conditions climatiques rigoureuses. Les anciens présidents Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama, ainsi que des figures emblématiques du secteur technologique comme Mark Zuckerberg et Jeff Bezos, ont assisté à cet événement historique.
Au moment de prêter serment, Trump a promis de "protéger la Constitution", tout en évoquant sa détermination à mettre fin à ce qu'il qualifie de "déclin" de l'Amérique, qu'il impute à une "invasion" migratoire et à des idéologies progressistes. Des mesures immédiates sont attendues, notamment le décret d'un état d'urgence à la frontière mexicaine et des restrictions sur la reconnaissance des genres par l'État fédéral.
La transition de pouvoir, bien que marquée par une apparente normalité, cache des tensions sous-jacentes. Joe Biden, dans un acte de prévoyance, a gracié certains membres de sa famille, redoutant des représailles judiciaires potentielles de la part des républicains. Cette décision souligne les fractures persistantes au sein du paysage politique américain.
Le retour de Trump à la présidence s'accompagne d'une promesse de revanche contre ses adversaires politiques, alors que Biden, dans un geste de protection pour son administration et ses proches, a également accordé des grâces préventives à plusieurs figures publiques. Parmi elles, des personnalités controversées comme l'ancien chef d'état-major Mark Milley et le Dr Anthony Fauci, tous deux ayant été critiqués par le camp républicain.
Le premier mandat de Trump a été marqué par des crises politiques internes et des tensions diplomatiques. Reste à voir si cette seconde présidence sera plus stable, mais une chose est certaine : Trump a su verrouiller le parti républicain autour de sa figure, s'appuyant sur une base solide au Congrès et une Cour suprême favorable.
Dans une tournure d'événements qui a surpris beaucoup d'observateurs, Donald Trump a été investi président des États-Unis pour un second mandat, devenant ainsi le 47e président de l'histoire du pays. Lors de son discours inaugural, prononcé sous la coupole du Capitole, Trump a déclaré : "L'âge d'or de l'Amérique commence", affirmant sa volonté de restaurer la grandeur du pays après des années de turbulence.

À 78 ans, Trump devient le plus ancien président américain investi, marquant un retour spectaculaire après sa défaite en 2020 face à Joe Biden. Son ascension au pouvoir est marquée par un parcours atypique, le milliardaire républicain n’ayant jamais reconnu sa défaite et ayant suscité des tensions politiques sans précédent.
La cérémonie d'investiture, bien que marquée par un protocole habituellement festif, a été modifiée en raison de conditions climatiques rigoureuses. Les anciens présidents Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama, ainsi que des figures emblématiques du secteur technologique comme Mark Zuckerberg et Jeff Bezos, ont assisté à cet événement historique.
Au moment de prêter serment, Trump a promis de "protéger la Constitution", tout en évoquant sa détermination à mettre fin à ce qu'il qualifie de "déclin" de l'Amérique, qu'il impute à une "invasion" migratoire et à des idéologies progressistes. Des mesures immédiates sont attendues, notamment le décret d'un état d'urgence à la frontière mexicaine et des restrictions sur la reconnaissance des genres par l'État fédéral.
La transition de pouvoir, bien que marquée par une apparente normalité, cache des tensions sous-jacentes. Joe Biden, dans un acte de prévoyance, a gracié certains membres de sa famille, redoutant des représailles judiciaires potentielles de la part des républicains. Cette décision souligne les fractures persistantes au sein du paysage politique américain.
Le retour de Trump à la présidence s'accompagne d'une promesse de revanche contre ses adversaires politiques, alors que Biden, dans un geste de protection pour son administration et ses proches, a également accordé des grâces préventives à plusieurs figures publiques. Parmi elles, des personnalités controversées comme l'ancien chef d'état-major Mark Milley et le Dr Anthony Fauci, tous deux ayant été critiqués par le camp républicain.
Le premier mandat de Trump a été marqué par des crises politiques internes et des tensions diplomatiques. Reste à voir si cette seconde présidence sera plus stable, mais une chose est certaine : Trump a su verrouiller le parti républicain autour de sa figure, s'appuyant sur une base solide au Congrès et une Cour suprême favorable.
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