Le gouvernement gabonais a annoncé, mardi 12 août, une amnistie générale couvrant les auteurs du coup d’État du 30 août 2023, qui avait renversé Ali Bongo, ainsi que ceux de la tentative avortée du 7 janvier 2019.
Cette mesure concerne notamment Kelly Ondo Obiang, ancien lieutenant de la Garde républicaine, ainsi que Dimitry Nze Minkom et Estimé Bedima, toujours détenus. Condamnés à 15 ans de prison pour avoir occupé la radio nationale et appelé au soulèvement en 2019, ils devraient être prochainement libérés et réintégrés.
Présentée comme un geste d’« apaisement et de réconciliation nationale », cette décision était attendue : en février, le président Brice Clothaire Oligui Nguema avait promis de ne pas oublier son « petit frère » Kelly Ondo Obiang.
Outre cette amnistie, le Conseil des ministres a annoncé des mesures pour réduire les déficits, stimuler la croissance et réserver certains emplois aux Gabonais.
Le gouvernement gabonais a annoncé, mardi 12 août, une amnistie générale couvrant les auteurs du coup d’État du 30 août 2023, qui avait renversé Ali Bongo, ainsi que ceux de la tentative avortée du 7 janvier 2019.
Cette mesure concerne notamment Kelly Ondo Obiang, ancien lieutenant de la Garde républicaine, ainsi que Dimitry Nze Minkom et Estimé Bedima, toujours détenus. Condamnés à 15 ans de prison pour avoir occupé la radio nationale et appelé au soulèvement en 2019, ils devraient être prochainement libérés et réintégrés.
Présentée comme un geste d’« apaisement et de réconciliation nationale », cette décision était attendue : en février, le président Brice Clothaire Oligui Nguema avait promis de ne pas oublier son « petit frère » Kelly Ondo Obiang.
Outre cette amnistie, le Conseil des ministres a annoncé des mesures pour réduire les déficits, stimuler la croissance et réserver certains emplois aux Gabonais.
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