Le naufrage du navire de charge russe Ursa Major le 23 décembre en Méditerranée est désormais qualifié par son armateur, Oboronlogistics, d'« attaque terroriste ». Cette déclaration survient alors que les circonstances de l'accident continuent de soulever de nombreuses interrogations, notamment sur une éventuelle surcharge du navire, hypothèse rapidement rejetée par l'entreprise.
Selon les informations fournies par Oboronlogistics, le Ursa Major aurait été victime de trois explosions successives à l'arrière du navire, provoquant un roulis excessif et la pénétration d'eau à l'intérieur. Ces explosions auraient causé le naufrage du cargo, qui se trouvait alors à proximité des côtes espagnoles et algériennes.
Le navire transportait une cargaison d'importance stratégique : 45 tonnes de matériel destiné à la construction de brise-glaces à propulsion nucléaire, notamment des grues portuaires et des couvercles de trappe spécifiques au projet « 10510 ». Ce chargement devait être livré à Vladivostok le 22 janvier, après départ de Saint-Pétersbourg.
Oboronlogistics rassure également sur l'état de la cargaison, précisant que le Ursa Major, l'un des plus grands cargos à cargaison sèche de Russie, n'était pas en surcharge. Avec un total de 806 tonnes transportées, le navire restait bien en deçà de sa capacité maximale de 9 500 tonnes.
À bord du navire se trouvaient 16 membres d'équipage, tous de nationalité russe. Les opérations de sauvetage menées auprès des naufragés ont permis de secourir 14 marins, tandis que deux restent portés disparus. Les autorités continuent d'organiser les recherches pour tenter de retrouver ces derniers.
Le naufrage du navire de charge russe Ursa Major le 23 décembre en Méditerranée est désormais qualifié par son armateur, Oboronlogistics, d'« attaque terroriste ». Cette déclaration survient alors que les circonstances de l'accident continuent de soulever de nombreuses interrogations, notamment sur une éventuelle surcharge du navire, hypothèse rapidement rejetée par l'entreprise.
Selon les informations fournies par Oboronlogistics, le Ursa Major aurait été victime de trois explosions successives à l'arrière du navire, provoquant un roulis excessif et la pénétration d'eau à l'intérieur. Ces explosions auraient causé le naufrage du cargo, qui se trouvait alors à proximité des côtes espagnoles et algériennes.
Le navire transportait une cargaison d'importance stratégique : 45 tonnes de matériel destiné à la construction de brise-glaces à propulsion nucléaire, notamment des grues portuaires et des couvercles de trappe spécifiques au projet « 10510 ». Ce chargement devait être livré à Vladivostok le 22 janvier, après départ de Saint-Pétersbourg.
Oboronlogistics rassure également sur l'état de la cargaison, précisant que le Ursa Major, l'un des plus grands cargos à cargaison sèche de Russie, n'était pas en surcharge. Avec un total de 806 tonnes transportées, le navire restait bien en deçà de sa capacité maximale de 9 500 tonnes.
À bord du navire se trouvaient 16 membres d'équipage, tous de nationalité russe. Les opérations de sauvetage menées auprès des naufragés ont permis de secourir 14 marins, tandis que deux restent portés disparus. Les autorités continuent d'organiser les recherches pour tenter de retrouver ces derniers.
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