Les Nations Unies ont exprimé leur profonde indignation suite au viol et au meurtre tragique d'Aïcha Bah, une écolière de seulement 8 ans, dont le corps a été retrouvé dans les toilettes de son école à Kagbelen, en banlieue de Conakry, le 14 novembre. Ce crime odieux a suscité une vague d'indignation tant au niveau national qu'international, mettant en lumière la problématique alarmante des violences sexuelles en Guinée.
Les représentants de l'ONU ont qualifié cet acte d’« atrocité » et ont appelé le gouvernement guinéen à prendre des mesures immédiates pour lutter contre ce fléau. Aimé Ntumba Kakolo, représentant du Haut-commissariat aux droits humains de l'ONU en Guinée, a déclaré : « Le cas d'Aïcha nous rappelle un autre cas l'année passée, celui d'Aisato Tambassa, victime de viol et abattue. Si les écoles, qui devraient être des lieux sûrs pour nos enfants, deviennent des cibles, il est impératif que la société tout entière se mobilise. »
L'ONU appelle donc à un « sursaut national », incitant les autorités guinéennes à renforcer les lois contre les violences sexuelles et à garantir une protection adéquate pour les victimes. De plus, l'organisation mondiale exhorte la société civile à s'engager activement dans la lutte contre ces crimes inacceptables.
Les Nations Unies ont exprimé leur profonde indignation suite au viol et au meurtre tragique d'Aïcha Bah, une écolière de seulement 8 ans, dont le corps a été retrouvé dans les toilettes de son école à Kagbelen, en banlieue de Conakry, le 14 novembre. Ce crime odieux a suscité une vague d'indignation tant au niveau national qu'international, mettant en lumière la problématique alarmante des violences sexuelles en Guinée.
Les représentants de l'ONU ont qualifié cet acte d’« atrocité » et ont appelé le gouvernement guinéen à prendre des mesures immédiates pour lutter contre ce fléau. Aimé Ntumba Kakolo, représentant du Haut-commissariat aux droits humains de l'ONU en Guinée, a déclaré : « Le cas d'Aïcha nous rappelle un autre cas l'année passée, celui d'Aisato Tambassa, victime de viol et abattue. Si les écoles, qui devraient être des lieux sûrs pour nos enfants, deviennent des cibles, il est impératif que la société tout entière se mobilise. »
L'ONU appelle donc à un « sursaut national », incitant les autorités guinéennes à renforcer les lois contre les violences sexuelles et à garantir une protection adéquate pour les victimes. De plus, l'organisation mondiale exhorte la société civile à s'engager activement dans la lutte contre ces crimes inacceptables.
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