Le gouvernement tchadien a fermement condamné les déclarations du général Yasser Al-Atta, commandant en chef adjoint des forces armées soudanaises. Dans une allocution diffusée par Al Jazeera et relayée massivement sur les réseaux sociaux, le général Al-Atta aurait, selon le ministère tchadien des Affaires étrangères, proféré des menaces directes à l'encontre de l'intégrité territoriale et de la sécurité du Tchad.
Le porte-parole du ministère, Ibrahim Adam Mahamat, a qualifié ces propos de "irresponsables" et "potentiellement belliqueux". Dans un communiqué publié dans la nuit, il a clairement indiqué que ces menaces pourraient être interprétées comme une déclaration de guerre. Le Tchad se réserve le droit de riposter avec force à toute agression, a-t-il ajouté.
Au-delà des menaces, le communiqué accuse également les autorités soudanaises d'avoir tenté de déstabiliser le Tchad par le soutien à des rébellions et à Boko Haram. Alors que Ndjamena souligne son engagement à la neutralité dans le conflit entre factions soudanaises, il dénonce ces actes de déstabilisation. Le porte-parole tchadien a pourtant insisté sur le fait que le Tchad a, jusqu'à aujourd'hui, préféré éviter la réponse par la force.
Cette réaction ferme du Tchad intervient après des tensions croissantes entre les deux pays, alimentées potentiellement par la complexité du conflit soudanais et les rivalités régionales. L'escalade verbale entre les deux nations appelle à la prudence et au dialogue dans cette zone instable de l'Afrique centrale.
Points clés :
Menaces du général Al-Atta : Le commandant adjoint soudanais aurait proféré des menaces contre le Tchad.
Réponse du Tchad : Le gouvernement tchadien condamne fermement ces menaces et se réserve le droit d'utiliser la force en cas d'agression.
Accusations de déstabilisation : Le Tchad accuse les autorités soudanaises de soutenir des groupes armés menaçant sa stabilité.
Neutralité affirmée : Malgré les tensions, le Tchad se dit attaché à la neutralité dans le conflit soudanais
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Le gouvernement tchadien a fermement condamné les déclarations du général Yasser Al-Atta, commandant en chef adjoint des forces armées soudanaises. Dans une allocution diffusée par Al Jazeera et relayée massivement sur les réseaux sociaux, le général Al-Atta aurait, selon le ministère tchadien des Affaires étrangères, proféré des menaces directes à l'encontre de l'intégrité territoriale et de la sécurité du Tchad.
Le porte-parole du ministère, Ibrahim Adam Mahamat, a qualifié ces propos de "irresponsables" et "potentiellement belliqueux". Dans un communiqué publié dans la nuit, il a clairement indiqué que ces menaces pourraient être interprétées comme une déclaration de guerre. Le Tchad se réserve le droit de riposter avec force à toute agression, a-t-il ajouté.
Au-delà des menaces, le communiqué accuse également les autorités soudanaises d'avoir tenté de déstabiliser le Tchad par le soutien à des rébellions et à Boko Haram. Alors que Ndjamena souligne son engagement à la neutralité dans le conflit entre factions soudanaises, il dénonce ces actes de déstabilisation. Le porte-parole tchadien a pourtant insisté sur le fait que le Tchad a, jusqu'à aujourd'hui, préféré éviter la réponse par la force.
Cette réaction ferme du Tchad intervient après des tensions croissantes entre les deux pays, alimentées potentiellement par la complexité du conflit soudanais et les rivalités régionales. L'escalade verbale entre les deux nations appelle à la prudence et au dialogue dans cette zone instable de l'Afrique centrale.
Points clés :
Menaces du général Al-Atta : Le commandant adjoint soudanais aurait proféré des menaces contre le Tchad.
Réponse du Tchad : Le gouvernement tchadien condamne fermement ces menaces et se réserve le droit d'utiliser la force en cas d'agression.
Accusations de déstabilisation : Le Tchad accuse les autorités soudanaises de soutenir des groupes armés menaçant sa stabilité.
Neutralité affirmée : Malgré les tensions, le Tchad se dit attaché à la neutralité dans le conflit soudanais
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