Le ministère américain de l'Éducation est au cœur d'une vaste restructuration, annonçant mardi la suppression d'environ 1300 postes, soit près de la moitié de son personnel. Cette nouvelle mesure s'inscrit dans une tendance plus large de démantèlement de la fonction publique fédérale, remarquée depuis l'arrivée de l'administration Trump.
Des sources proches du département soutiennent que cette purge massive est bien plus qu'une simple rationalisation budgétaire. L'annonce survient au lendemain du départ volontaire de 600 fonctionnaires et du licenciement d'une centaine d'autres employés en stage. Les 1300 employés licenciés ont reçu notification par courriel mardi matin, leur demandant de quitter les locaux de Washington avant la fin de la journée pour des raisons de sécurité.
Le communiqué transmis aux employés, sans donner de détails sur la nature exacte de la restructuration, pointe vers une intention de transférer le plus de pouvoir possible aux États fédérés en la matière. Cette stratégie s'aligne sur les déclarations de Donald Trump et de son entourage pendant la campagne présidentielle, qui avaient explicitement appelé à la suppression du ministère, le qualifiant de « repaire d'adversaires politiques ». Un décret à cet effet semble se préparer, bien que la Maison Blanche le démente.
Dans une réaction étonnante, Linda McMahon, la secrétaire à l'Éducation, et ancienne figure de la WWE, a personnellement piloté cette restructuration, la présentant comme la « mission finale » du ministère, soit sa propre disparition. Cette annonce radicalement rapide a immédiatement soulevé des questions sur les motivations réelles derrière cette décision.
Les effectifs du ministère, qui étaient d'environ 4 100 fonctionnaires au début de l'année, sont ainsi ramenés à environ 2 200. Malgré l'annonce de la Maison Blanche indiquant la suppression du ministère comme leur objectif, un vote sénatorial à la majorité qualifiée est nécessaire pour la disparition du ministère. Une telle majorité n'est pas actuellement au sein du Congrès américain pour le moment.
Le ministère américain de l'Éducation est au cœur d'une vaste restructuration, annonçant mardi la suppression d'environ 1300 postes, soit près de la moitié de son personnel. Cette nouvelle mesure s'inscrit dans une tendance plus large de démantèlement de la fonction publique fédérale, remarquée depuis l'arrivée de l'administration Trump.
Des sources proches du département soutiennent que cette purge massive est bien plus qu'une simple rationalisation budgétaire. L'annonce survient au lendemain du départ volontaire de 600 fonctionnaires et du licenciement d'une centaine d'autres employés en stage. Les 1300 employés licenciés ont reçu notification par courriel mardi matin, leur demandant de quitter les locaux de Washington avant la fin de la journée pour des raisons de sécurité.
Le communiqué transmis aux employés, sans donner de détails sur la nature exacte de la restructuration, pointe vers une intention de transférer le plus de pouvoir possible aux États fédérés en la matière. Cette stratégie s'aligne sur les déclarations de Donald Trump et de son entourage pendant la campagne présidentielle, qui avaient explicitement appelé à la suppression du ministère, le qualifiant de « repaire d'adversaires politiques ». Un décret à cet effet semble se préparer, bien que la Maison Blanche le démente.
Dans une réaction étonnante, Linda McMahon, la secrétaire à l'Éducation, et ancienne figure de la WWE, a personnellement piloté cette restructuration, la présentant comme la « mission finale » du ministère, soit sa propre disparition. Cette annonce radicalement rapide a immédiatement soulevé des questions sur les motivations réelles derrière cette décision.
Les effectifs du ministère, qui étaient d'environ 4 100 fonctionnaires au début de l'année, sont ainsi ramenés à environ 2 200. Malgré l'annonce de la Maison Blanche indiquant la suppression du ministère comme leur objectif, un vote sénatorial à la majorité qualifiée est nécessaire pour la disparition du ministère. Une telle majorité n'est pas actuellement au sein du Congrès américain pour le moment.
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