Une attaque meurtrière attribuée à Boko Haram a visé des bases des Forces multinationales mixtes (FMM) dans la localité nigériane de Wulgo, frontalière du Cameroun, dans la nuit du 23 au 24 mars. Au moins onze militaires camerounais ont été tués et 21 autres blessés, selon des sources sécuritaires à Maroua.
L'attaque, qui a duré plus de deux heures, a pris les bases des FMM par surprise. Ces camps hébergent des soldats nigériens, tchadiens, et camerounais, impliqués dans la lutte contre Boko Haram. Les assaillants, qui ont infiltré la zone, ont incendié plusieurs bases militaires et fait main basse sur du matériel, notamment des canons antiaériens et des munitions. Des véhicules de combat ont également été détruits.
Cette attaque, une des plus meurtrières pour les forces camerounaises engagées contre Boko Haram au cours de la dernière décennie, met en lumière l'ampleur de la menace posée par les insurgés nigérians. Ces exactions débordent régulièrement la frontière, touchant les localités camerounaises frontalières.
Les circonstances précises de l'attaque et les pertes subies par les autres contingents des FMM font l'objet d'investigations. Les autorités camerounaises ont réagi à cette tragédie, promettant d'intensifier les efforts pour lutter contre le terrorisme et garantir la sécurité des troupes engagées. Les blessés sont actuellement soignés dans les hôpitaux de Maroua.
Le groupe terroriste Boko Haram est actif dans le nord-est du Nigeria depuis de nombreuses années, et ses actions se sont propagées au-delà des frontières du pays, notamment au Cameroun, entraînant une importante présence de forces multinationales dans la région. L'instabilité persistante pose un défi majeur à la sécurité et à la stabilité de la région.
Une attaque meurtrière attribuée à Boko Haram a visé des bases des Forces multinationales mixtes (FMM) dans la localité nigériane de Wulgo, frontalière du Cameroun, dans la nuit du 23 au 24 mars. Au moins onze militaires camerounais ont été tués et 21 autres blessés, selon des sources sécuritaires à Maroua.
L'attaque, qui a duré plus de deux heures, a pris les bases des FMM par surprise. Ces camps hébergent des soldats nigériens, tchadiens, et camerounais, impliqués dans la lutte contre Boko Haram. Les assaillants, qui ont infiltré la zone, ont incendié plusieurs bases militaires et fait main basse sur du matériel, notamment des canons antiaériens et des munitions. Des véhicules de combat ont également été détruits.
Cette attaque, une des plus meurtrières pour les forces camerounaises engagées contre Boko Haram au cours de la dernière décennie, met en lumière l'ampleur de la menace posée par les insurgés nigérians. Ces exactions débordent régulièrement la frontière, touchant les localités camerounaises frontalières.
Les circonstances précises de l'attaque et les pertes subies par les autres contingents des FMM font l'objet d'investigations. Les autorités camerounaises ont réagi à cette tragédie, promettant d'intensifier les efforts pour lutter contre le terrorisme et garantir la sécurité des troupes engagées. Les blessés sont actuellement soignés dans les hôpitaux de Maroua.
Le groupe terroriste Boko Haram est actif dans le nord-est du Nigeria depuis de nombreuses années, et ses actions se sont propagées au-delà des frontières du pays, notamment au Cameroun, entraînant une importante présence de forces multinationales dans la région. L'instabilité persistante pose un défi majeur à la sécurité et à la stabilité de la région.
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