La capitale de la République Démocratique du Congo (RDC) a été le théâtre de violentes manifestations, ciblant plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda, de la France, de la Belgique, des États-Unis, de l’Ouganda et du Kenya. Ces mouvements de protestation sont une réaction à la situation de conflit persistante dans l’est du pays.

Les manifestations, qui ont commencé dans l’après-midi, ont rapidement pris une tournure violente. Les manifestants ont incendié des locaux de l’ancienne ambassade du Rwanda, actuellement fermés, et ont causé des dégâts matériels significatifs aux autres missions diplomatiques. À l’ambassade de l’Ouganda, un intense affrontement a eu lieu, nécessitant l’intervention des forces de police congolaise, qui ont dû utiliser des grenades lacrymogènes pour disperser la foule.
À l’ambassade de France, des violences ont également été rapportées, avec un incendie provoqué par les manifestants, mais celui-ci a été rapidement maîtrisé. Malgré ces actes de vandalisme, les ambassades ont pour l’instant réussi à préserver leur intégrité et à empêcher toute intrusion.
Les manifestants expriment leur colère envers ces pays, les accusant de ne pas faire pression sur le Rwanda, qu'ils soupçonnent de soutenir le mouvement rebelle M23 dans l'est du pays. Ce dernier a été à l'origine de violences et de désastres humanitaires majeurs dans la région, alimentant ainsi le ressentiment envers le gouvernement rwandais et ses alliés.
Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères, a réagi rapidement aux événements, condamnant fermement les attaques contre les ambassades. Il a qualifié ces agressions d'inacceptables et a assuré que toutes les mesures nécessaires seraient prises pour garantir la sécurité des employés diplomatiques et des ressortissants français en RDC.
La situation demeure tendue à Kinshasa, alors que les autorités congolaises tentent de maîtriser les manifestations tout en répondant aux inquiétudes croissantes concernant la stabilité politique et sécuritaire dans le pays. Les ambassades de ces nations se retrouvent désormais dans une position délicate, alors que les tensions entre le gouvernement congolais et ses voisins continuent de s'intensifier.
La capitale de la République Démocratique du Congo (RDC) a été le théâtre de violentes manifestations, ciblant plusieurs ambassades, dont celles du Rwanda, de la France, de la Belgique, des États-Unis, de l’Ouganda et du Kenya. Ces mouvements de protestation sont une réaction à la situation de conflit persistante dans l’est du pays.

Les manifestations, qui ont commencé dans l’après-midi, ont rapidement pris une tournure violente. Les manifestants ont incendié des locaux de l’ancienne ambassade du Rwanda, actuellement fermés, et ont causé des dégâts matériels significatifs aux autres missions diplomatiques. À l’ambassade de l’Ouganda, un intense affrontement a eu lieu, nécessitant l’intervention des forces de police congolaise, qui ont dû utiliser des grenades lacrymogènes pour disperser la foule.
À l’ambassade de France, des violences ont également été rapportées, avec un incendie provoqué par les manifestants, mais celui-ci a été rapidement maîtrisé. Malgré ces actes de vandalisme, les ambassades ont pour l’instant réussi à préserver leur intégrité et à empêcher toute intrusion.
Les manifestants expriment leur colère envers ces pays, les accusant de ne pas faire pression sur le Rwanda, qu'ils soupçonnent de soutenir le mouvement rebelle M23 dans l'est du pays. Ce dernier a été à l'origine de violences et de désastres humanitaires majeurs dans la région, alimentant ainsi le ressentiment envers le gouvernement rwandais et ses alliés.
Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères, a réagi rapidement aux événements, condamnant fermement les attaques contre les ambassades. Il a qualifié ces agressions d'inacceptables et a assuré que toutes les mesures nécessaires seraient prises pour garantir la sécurité des employés diplomatiques et des ressortissants français en RDC.
La situation demeure tendue à Kinshasa, alors que les autorités congolaises tentent de maîtriser les manifestations tout en répondant aux inquiétudes croissantes concernant la stabilité politique et sécuritaire dans le pays. Les ambassades de ces nations se retrouvent désormais dans une position délicate, alors que les tensions entre le gouvernement congolais et ses voisins continuent de s'intensifier.
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