Le 19 novembre dernier, la justice guinéenne a rendu son verdict dans une affaire qui a secoué le pays. Deux organisateurs d'une soirée en hommage à Baltasar Engonga, un haut fonctionnaire équato-guinéen, ont été condamnés pour avoir incité des mineurs à la débauche.
L'événement, prévu pour le 9 novembre dans un lounge à Kipé, était censé mettre en avant les sextapes de "Bello", surnom du fonctionnaire en raison de son allure séduisante. Les autorités ont rapidement réagi à l'annonce de cette soirée controversée. La brigade des mœurs, alertée par des affiches promotionnelles diffusées sur les réseaux sociaux, a procédé à l'arrestation des organisateurs.
L'un d'eux a reconnu sa culpabilité, affirmant que l'idée était purement lucrative. Son coaccusé, en revanche, a nié toute implication et a insisté sur le fait qu'il avait demandé l'annulation de l'événement dès qu'il avait pris connaissance des affiches.
Au cours du procès, l'accusé a déclaré : « Notre lounge est interdit aux moins de 18 ans, l'entrée est gratuite, mais la consommation est obligatoire. J’ai agi dès que j’ai vu que les images étaient obscènes. » Malgré cette défense, le tribunal a suivi les réquisitions du procureur et a condamné les deux hommes à un an de prison avec sursis et à une amende de 5 000 000 FG.
Le 19 novembre dernier, la justice guinéenne a rendu son verdict dans une affaire qui a secoué le pays. Deux organisateurs d'une soirée en hommage à Baltasar Engonga, un haut fonctionnaire équato-guinéen, ont été condamnés pour avoir incité des mineurs à la débauche.
L'événement, prévu pour le 9 novembre dans un lounge à Kipé, était censé mettre en avant les sextapes de "Bello", surnom du fonctionnaire en raison de son allure séduisante. Les autorités ont rapidement réagi à l'annonce de cette soirée controversée. La brigade des mœurs, alertée par des affiches promotionnelles diffusées sur les réseaux sociaux, a procédé à l'arrestation des organisateurs.
L'un d'eux a reconnu sa culpabilité, affirmant que l'idée était purement lucrative. Son coaccusé, en revanche, a nié toute implication et a insisté sur le fait qu'il avait demandé l'annulation de l'événement dès qu'il avait pris connaissance des affiches.
Au cours du procès, l'accusé a déclaré : « Notre lounge est interdit aux moins de 18 ans, l'entrée est gratuite, mais la consommation est obligatoire. J’ai agi dès que j’ai vu que les images étaient obscènes. » Malgré cette défense, le tribunal a suivi les réquisitions du procureur et a condamné les deux hommes à un an de prison avec sursis et à une amende de 5 000 000 FG.
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