Le groupe Ebomaf, l’un des leaders de la construction en Afrique de l’Ouest, a engagé des poursuites judiciaires le 26 juin 2024 pour diffamation suite à la publication de propos accusatoires sur Facebook. Ces accusations, publiées par le cyber-activiste Egountchi Behanzin, ont suscité une réaction ferme de l’entreprise qui a décidé de porter plainte.
Dans son message, Behanzin évoquait un convoi militaire transportant du matériel militaire depuis Lomé vers le nord du Togo et le Burkina Faso, insinuant une implication d'Ebomaf dans un plan de déstabilisation. Ebomaf a pris cette affaire très au sérieux, considérant les allégations comme gravement diffamatoires. L'entreprise a saisi la justice française avec constitution de partie civile contre X pour diffamation publique envers un particulier, invoquant des articles de la loi sur la liberté de la presse de 1881.
Le Président Directeur Général d’Ebomaf, Mahamadou Bonkoungou, a vigoureusement contesté les accusations, affirmant que le seul but du post était de ternir la réputation de l'entreprise. Il a souligné l'engagement d'Ebomaf à protéger son intégrité et à poursuivre en justice toute tentative de diffamation.
La plainte a été formellement déposée, plaçant désormais l’affaire entre les mains de la justice française qui devra examiner les preuves et vérifier la véracité des allégations. Pendant ce temps, Ebomaf maintient son innocence et réaffirme son engagement envers des pratiques commerciales transparentes et éthiques.
Le groupe Ebomaf, l’un des leaders de la construction en Afrique de l’Ouest, a engagé des poursuites judiciaires le 26 juin 2024 pour diffamation suite à la publication de propos accusatoires sur Facebook. Ces accusations, publiées par le cyber-activiste Egountchi Behanzin, ont suscité une réaction ferme de l’entreprise qui a décidé de porter plainte.
Dans son message, Behanzin évoquait un convoi militaire transportant du matériel militaire depuis Lomé vers le nord du Togo et le Burkina Faso, insinuant une implication d'Ebomaf dans un plan de déstabilisation. Ebomaf a pris cette affaire très au sérieux, considérant les allégations comme gravement diffamatoires. L'entreprise a saisi la justice française avec constitution de partie civile contre X pour diffamation publique envers un particulier, invoquant des articles de la loi sur la liberté de la presse de 1881.
Le Président Directeur Général d’Ebomaf, Mahamadou Bonkoungou, a vigoureusement contesté les accusations, affirmant que le seul but du post était de ternir la réputation de l'entreprise. Il a souligné l'engagement d'Ebomaf à protéger son intégrité et à poursuivre en justice toute tentative de diffamation.
La plainte a été formellement déposée, plaçant désormais l’affaire entre les mains de la justice française qui devra examiner les preuves et vérifier la véracité des allégations. Pendant ce temps, Ebomaf maintient son innocence et réaffirme son engagement envers des pratiques commerciales transparentes et éthiques.
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