Au Rwanda, une opération de vérification des lieux de culte a conduit à la fermeture de plus de 7 700 établissements. Cette initiative vise à s'assurer de la conformité des lieux de culte aux normes de sécurité, ainsi qu'à vérifier les qualifications des dirigeants religieux. Selon les autorités rwandaises, cette démarche est essentielle pour garantir la sécurité des fidèles et la qualité des prêches dispensées.
Parmi les établissements fermés, certains l'ont été en raison de prêches illégaux, incitant par exemple les fidèles à refuser le vaccin contre le coronavirus. Mais la majorité des fermetures administratives sont dues au non-respect des normes établies par la loi de 2018. Les autorités rappellent que la loi prévoyait une période de grâce de cinq ans pour permettre aux organisations religieuses de se mettre en conformité.
Malgré quelques cas de leaders religieux arrêtés pour avoir poursuivi leurs activités malgré la fermeture de leur établissement, la plupart des acteurs religieux semblent soutenir cette opération de mise en conformité. Ils reconnaissent l'importance de garantir des lieux de culte sûrs et des prêches de qualité pour protéger la population.
Cette initiative soulève des questions sur la responsabilité des dirigeants religieux et la nécessité de veiller à ce que les enseignements dispensés soient professionnels et conformes aux normes établies. Les autorités rwandaises insistent sur le fait qu'il est essentiel de protéger la population et de garantir que la foi soit transmise de manière responsable
Au Rwanda, une opération de vérification des lieux de culte a conduit à la fermeture de plus de 7 700 établissements. Cette initiative vise à s'assurer de la conformité des lieux de culte aux normes de sécurité, ainsi qu'à vérifier les qualifications des dirigeants religieux. Selon les autorités rwandaises, cette démarche est essentielle pour garantir la sécurité des fidèles et la qualité des prêches dispensées.
Parmi les établissements fermés, certains l'ont été en raison de prêches illégaux, incitant par exemple les fidèles à refuser le vaccin contre le coronavirus. Mais la majorité des fermetures administratives sont dues au non-respect des normes établies par la loi de 2018. Les autorités rappellent que la loi prévoyait une période de grâce de cinq ans pour permettre aux organisations religieuses de se mettre en conformité.
Malgré quelques cas de leaders religieux arrêtés pour avoir poursuivi leurs activités malgré la fermeture de leur établissement, la plupart des acteurs religieux semblent soutenir cette opération de mise en conformité. Ils reconnaissent l'importance de garantir des lieux de culte sûrs et des prêches de qualité pour protéger la population.
Cette initiative soulève des questions sur la responsabilité des dirigeants religieux et la nécessité de veiller à ce que les enseignements dispensés soient professionnels et conformes aux normes établies. Les autorités rwandaises insistent sur le fait qu'il est essentiel de protéger la population et de garantir que la foi soit transmise de manière responsable
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