Dans un contexte de tensions croissantes et de réajustement géopolitique, le Commandement des États-Unis pour l'Afrique (Africom) a récemment fait le point sur sa stratégie militaire en Afrique de l'Ouest. Lors d'une conférence de presse tenue ce jeudi, le général Michael Langley, à la tête de l'Africom, a souligné l'importance de la région côtière tout en maintenant le dialogue avec les pays de l'Alliance des États du Sahel (AES), malgré les récents changements politiques.
Le retrait des forces américaines du Niger, effectué sans incident conformément aux demandes du Conseil National de la Suprématie Populaire (CNSP), a marqué une nouvelle étape dans la réévaluation de la présence militaire américaine dans la région. La fermeture de la dernière base militaire à Agadez, survenue le mois dernier, témoigne des évolutions rapides sur le terrain. Ce retrait s'inscrit dans un contexte où le Niger a dénoncé l'accord de coopération militaire avec Washington, tout en se rapprochant de la Russie depuis le coup d'État de l'année dernière.
Le général Langley a précisé que les États-Unis restent engagés dans des discussions avec les pays de l'AES, notamment le Niger, le Mali et le Burkina Faso. La semaine dernière, une délégation de représentants du Congrès américain s'est même rendue à Niamey, soulignant l'intérêt de Washington pour la stabilité de la région.
En parallèle, les États-Unis intensifient leurs efforts diplomatiques avec plusieurs pays côtiers d'Afrique de l'Ouest, tels que la Côte d'Ivoire, le Ghana et le Bénin. Le général Langley a mis en évidence la menace croissante que représentent les groupes terroristes du JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans) et de l'État islamique, qui étendent leur influence vers le sud, menaçant ainsi la sécurité des pays côtiers.
Dans un contexte de tensions croissantes et de réajustement géopolitique, le Commandement des États-Unis pour l'Afrique (Africom) a récemment fait le point sur sa stratégie militaire en Afrique de l'Ouest. Lors d'une conférence de presse tenue ce jeudi, le général Michael Langley, à la tête de l'Africom, a souligné l'importance de la région côtière tout en maintenant le dialogue avec les pays de l'Alliance des États du Sahel (AES), malgré les récents changements politiques.
Le retrait des forces américaines du Niger, effectué sans incident conformément aux demandes du Conseil National de la Suprématie Populaire (CNSP), a marqué une nouvelle étape dans la réévaluation de la présence militaire américaine dans la région. La fermeture de la dernière base militaire à Agadez, survenue le mois dernier, témoigne des évolutions rapides sur le terrain. Ce retrait s'inscrit dans un contexte où le Niger a dénoncé l'accord de coopération militaire avec Washington, tout en se rapprochant de la Russie depuis le coup d'État de l'année dernière.
Le général Langley a précisé que les États-Unis restent engagés dans des discussions avec les pays de l'AES, notamment le Niger, le Mali et le Burkina Faso. La semaine dernière, une délégation de représentants du Congrès américain s'est même rendue à Niamey, soulignant l'intérêt de Washington pour la stabilité de la région.
En parallèle, les États-Unis intensifient leurs efforts diplomatiques avec plusieurs pays côtiers d'Afrique de l'Ouest, tels que la Côte d'Ivoire, le Ghana et le Bénin. Le général Langley a mis en évidence la menace croissante que représentent les groupes terroristes du JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans) et de l'État islamique, qui étendent leur influence vers le sud, menaçant ainsi la sécurité des pays côtiers.
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