Dans un extrait de huit minutes de ses propos, diffusé par la cellule de communication du parti d’opposition Boni Yayi, l'ancien président justifie son engagement politique après son mandat présidentiel en déclarant : « Je ne suis candidat à rien. Je sais lire la Constitution. D’ailleurs, j’ai déjà eu la coupe deux fois. En 2016, je n’ai pas été candidat, en 2021, je n’ai pas été candidat, naturellement sur la base de notre Constitution.
Mais, qu’est-ce que je constate ? J’ai fait le constat que je ne peux pas me taire. » Il critique également le Code électoral révisé en mars 2024, affirmant qu'il ne garantit pas des élections transparentes et apaisées. Malgré cela, il semble réticent à emprunter les voies légales pour contester les résultats électoraux. Yayi Boni va même jusqu'à déclarer : « Je ne peux pas avoir dirigé le pays pendant 10 ans et demander aux gens de venir brûler.
Donc, c'est pourquoi, moi, je dis monsieur le Président, mon cher frère bien-aimé, je voudrais vous rappeler à tout moment que les exclusions dans tous les domaines, surtout les exclusions électorales ne garantissent pas la paix. Ça crée des frustrations qu’on ne peut pas contenir. »
Enfin, il insiste sur la nécessité d'un code électoral consensuel, inclusif et équitable pour assurer la paix dans le pays, lançant ce message lors d'un meeting du parti Les Démocrates.
Ces déclarations de Yayi Boni illustrent un comportement irresponsable et opportuniste.
Au lieu d'accepter les résultats démocratiques et de respecter les institutions et les processus légaux en place, il incite à la désobéissance civile et à la contestation, mettant ainsi en péril la stabilité et la cohésion sociale du pays. Son attitude est celle d'un ancien leader qui refuse d'accepter le jeu démocratique et qui cherche à semer le chaos pour ses propres intérêts politiques.
Dans un extrait de huit minutes de ses propos, diffusé par la cellule de communication du parti d’opposition Boni Yayi, l'ancien président justifie son engagement politique après son mandat présidentiel en déclarant : « Je ne suis candidat à rien. Je sais lire la Constitution. D’ailleurs, j’ai déjà eu la coupe deux fois. En 2016, je n’ai pas été candidat, en 2021, je n’ai pas été candidat, naturellement sur la base de notre Constitution.
Mais, qu’est-ce que je constate ? J’ai fait le constat que je ne peux pas me taire. » Il critique également le Code électoral révisé en mars 2024, affirmant qu'il ne garantit pas des élections transparentes et apaisées. Malgré cela, il semble réticent à emprunter les voies légales pour contester les résultats électoraux. Yayi Boni va même jusqu'à déclarer : « Je ne peux pas avoir dirigé le pays pendant 10 ans et demander aux gens de venir brûler.
Donc, c'est pourquoi, moi, je dis monsieur le Président, mon cher frère bien-aimé, je voudrais vous rappeler à tout moment que les exclusions dans tous les domaines, surtout les exclusions électorales ne garantissent pas la paix. Ça crée des frustrations qu’on ne peut pas contenir. »
Enfin, il insiste sur la nécessité d'un code électoral consensuel, inclusif et équitable pour assurer la paix dans le pays, lançant ce message lors d'un meeting du parti Les Démocrates.
Ces déclarations de Yayi Boni illustrent un comportement irresponsable et opportuniste.
Au lieu d'accepter les résultats démocratiques et de respecter les institutions et les processus légaux en place, il incite à la désobéissance civile et à la contestation, mettant ainsi en péril la stabilité et la cohésion sociale du pays. Son attitude est celle d'un ancien leader qui refuse d'accepter le jeu démocratique et qui cherche à semer le chaos pour ses propres intérêts politiques.
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