Dans un récent rebondissement politique en Haïti, le Conseil présidentiel de transition a pris la décision de limoger le Premier ministre Garry Conille, mettant ainsi fin à sa seconde expérience à la tête de la primature. Cette décision fait suite à un différend entre le CPT et Garry Conille concernant un remaniement ministériel, notamment sur la question du contrôle des ministères régaliens.
Le CPT a exigé que ces ministères ne relèvent plus du gouvernement, ce que Garry Conille a refusé de faire. Ce désaccord a finalement conduit à la destitution du Premier ministre, avec Alix Didier Fils-Aimé désigné pour le remplacer. Les réactions en Haïti sont vives, alors que le pays fait face à de nombreux défis et à une demande croissante de sécurité et de stabilité.
Garry Conille a réagi en dénonçant la décision du CPT comme étant "anticonstitutionnelle et illégitime", soulignant que le Conseil n'avait pas l'autorité de destituer un chef de gouvernement en dehors du cadre légal. Il a affirmé que cette décision va à l'encontre des principes démocratiques et ne respecte ni la Constitution ni les accords de transition en vigueur.
Dans un récent rebondissement politique en Haïti, le Conseil présidentiel de transition a pris la décision de limoger le Premier ministre Garry Conille, mettant ainsi fin à sa seconde expérience à la tête de la primature. Cette décision fait suite à un différend entre le CPT et Garry Conille concernant un remaniement ministériel, notamment sur la question du contrôle des ministères régaliens.
Le CPT a exigé que ces ministères ne relèvent plus du gouvernement, ce que Garry Conille a refusé de faire. Ce désaccord a finalement conduit à la destitution du Premier ministre, avec Alix Didier Fils-Aimé désigné pour le remplacer. Les réactions en Haïti sont vives, alors que le pays fait face à de nombreux défis et à une demande croissante de sécurité et de stabilité.
Garry Conille a réagi en dénonçant la décision du CPT comme étant "anticonstitutionnelle et illégitime", soulignant que le Conseil n'avait pas l'autorité de destituer un chef de gouvernement en dehors du cadre légal. Il a affirmé que cette décision va à l'encontre des principes démocratiques et ne respecte ni la Constitution ni les accords de transition en vigueur.
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