Marine Le Pen sera ce lundi après-midi à la barre pour son premier interrogatoire au procès des soupçons d'emplois fictifs d'assistants parlementaires du RN. Elle conteste formellement les accusations portées contre elle et a déjà remis en cause la partialité du tribunal.
Lors de la précédente audience, Marine Le Pen a exprimé son impatience et sa frustration envers le tribunal, soulignant la mauvaise foi du parquet et critiquant le traitement du dossier. Elle a également déploré le fait que peu importe ce qu'elle fait, tout est suspect.
Les enjeux de cette audience sont considérables pour la leader de l'extrême droite, qui risque une peine de prison, une lourde amende et surtout une peine d'inéligibilité qui pourrait compromettre ses ambitions présidentielles pour 2027.
Marine Le Pen est jugée aux côtés de 24 ex-eurodéputés du Front national et de collaborateurs du parti, accusés de détournement de fonds publics et de complicité de ce délit. Ils sont soupçonnés d'avoir mis en place un système centralisé de gestion des "enveloppes" destinées à rémunérer les assistants parlementaires, mais utilisées en réalité pour payer des salariés travaillant pour le parti.
Malgré son implication dans ce procès, Marine Le Pen reste très active politiquement, multipliant les initiatives et tenant récemment un meeting géant à Nice sans mentionner ses déboires judiciaires dans son discours.
Marine Le Pen sera ce lundi après-midi à la barre pour son premier interrogatoire au procès des soupçons d'emplois fictifs d'assistants parlementaires du RN. Elle conteste formellement les accusations portées contre elle et a déjà remis en cause la partialité du tribunal.
Lors de la précédente audience, Marine Le Pen a exprimé son impatience et sa frustration envers le tribunal, soulignant la mauvaise foi du parquet et critiquant le traitement du dossier. Elle a également déploré le fait que peu importe ce qu'elle fait, tout est suspect.
Les enjeux de cette audience sont considérables pour la leader de l'extrême droite, qui risque une peine de prison, une lourde amende et surtout une peine d'inéligibilité qui pourrait compromettre ses ambitions présidentielles pour 2027.
Marine Le Pen est jugée aux côtés de 24 ex-eurodéputés du Front national et de collaborateurs du parti, accusés de détournement de fonds publics et de complicité de ce délit. Ils sont soupçonnés d'avoir mis en place un système centralisé de gestion des "enveloppes" destinées à rémunérer les assistants parlementaires, mais utilisées en réalité pour payer des salariés travaillant pour le parti.
Malgré son implication dans ce procès, Marine Le Pen reste très active politiquement, multipliant les initiatives et tenant récemment un meeting géant à Nice sans mentionner ses déboires judiciaires dans son discours.
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