L'affaire des treize employés de la GDIZ, comparus devant la Cour de la répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) ce lundi 27 juin 2024, met en lumière les pratiques de corruption et de harcèlement sexuel qui persistent dans certains milieux professionnels au Bénin. Alors que seulement deux prévenus ont admis leur culpabilité lors de l'audience, les onze autres ont choisi de nier les accusations portées contre eux. Cette affaire souligne les vulnérabilités auxquelles sont confrontées les femmes en quête d'emploi, notamment dans les zones industrielles comme celle de Glo Djigbé. Les prévenus sont accusés d'avoir exploité cette situation en créant un réseau visant à extorquer de l'argent aux femmes en échange de promesses d'emploi au sein de la GDIZ. Ces pratiques prédatrices non seulement compromettent la dignité des victimes, mais sapent également la confiance dans le processus de recrutement et mettent en péril la réputation des entreprises impliquées.
Le renvoi du dossier au 1er juillet 2024 souligne la complexité de l'affaire et la nécessité d'une enquête approfondie pour établir la vérité.
Au-delà des poursuites judiciaires, cette affaire soulève des questions sur les mesures de prévention et de sensibilisation nécessaires pour protéger les femmes contre de telles pratiques abusives sur le lieu de travail. Elle met en évidence l'urgence d'une action collective pour lutter contre la corruption et le harcèlement sexuel, et pour garantir un environnement professionnel sûr et équitable pour tous.
L'affaire des treize employés de la GDIZ, comparus devant la Cour de la répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) ce lundi 27 juin 2024, met en lumière les pratiques de corruption et de harcèlement sexuel qui persistent dans certains milieux professionnels au Bénin. Alors que seulement deux prévenus ont admis leur culpabilité lors de l'audience, les onze autres ont choisi de nier les accusations portées contre eux. Cette affaire souligne les vulnérabilités auxquelles sont confrontées les femmes en quête d'emploi, notamment dans les zones industrielles comme celle de Glo Djigbé. Les prévenus sont accusés d'avoir exploité cette situation en créant un réseau visant à extorquer de l'argent aux femmes en échange de promesses d'emploi au sein de la GDIZ. Ces pratiques prédatrices non seulement compromettent la dignité des victimes, mais sapent également la confiance dans le processus de recrutement et mettent en péril la réputation des entreprises impliquées.
Le renvoi du dossier au 1er juillet 2024 souligne la complexité de l'affaire et la nécessité d'une enquête approfondie pour établir la vérité.
Au-delà des poursuites judiciaires, cette affaire soulève des questions sur les mesures de prévention et de sensibilisation nécessaires pour protéger les femmes contre de telles pratiques abusives sur le lieu de travail. Elle met en évidence l'urgence d'une action collective pour lutter contre la corruption et le harcèlement sexuel, et pour garantir un environnement professionnel sûr et équitable pour tous.
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