Dans un contexte marqué par les attaques de l'Iran contre Israël, les réactions internationales ne se sont pas fait attendre. Des condamnations fermes, des appels à la retenue et des mises en garde ont été exprimés par de nombreux pays et organisations à travers le monde.
Le président américain Joe Biden a condamné ces attaques "éhontées" et a réaffirmé le soutien "inébranlable" des États-Unis à Israël. Il a également souligné que les forces américaines avaient contribué à abattre la majorité des projectiles iraniens.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a lui aussi fermement condamné cette "grave escalade" et a appelé à une cessation immédiate des hostilités. Il a exprimé sa profonde préoccupation quant à une escalade dévastatrice à l'échelle de la région et a exhorté toutes les parties à faire preuve de retenue.
Le royaume saoudien a appelé toutes les parties à la retenue et à épargner la région et ses habitants des dangers de la guerre. Le ministère saoudien des Affaires étrangères a exprimé sa profonde inquiétude face à l'escalade militaire et a demandé au Conseil de sécurité de l'ONU d'assumer ses responsabilités en matière de maintien de la paix et de la sécurité internationales.
L'Égypte a appelé à une retenue maximale et est en contact direct avec toutes les parties au conflit pour essayer de contenir la situation. Le gouvernement égyptien a mis en garde contre le risque d'expansion régionale du conflit.
La Chine a exprimé sa profonde préoccupation face à l'aggravation de la situation et a appelé toutes les parties concernées à faire preuve de calme et de retenue pour éviter une nouvelle escalade des tensions.
Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a condamné l'attaque du régime iranien contre Israël et a assuré que le Royaume-Uni continuerait à défendre la sécurité d'Israël. Il a annoncé l'envoi d'avions de combat supplémentaires au Proche-Orient et a affirmé travailler en urgence avec ses alliés pour stabiliser la situation et éviter une escalade.
L'Union européenne (UE) a "condamné fermement" l'attaque "inacceptable" de l'Iran contre Israël. Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a qualifié cette attaque d'escalade sans précédent et de menace grave pour la sécurité régionale.
La France a également condamné l'attaque de l'Iran contre Israël, soulignant qu'elle franchissait un nouveau palier dans ses actions de déstabilisation. Le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, a réaffirmé l'attachement de la France à la sécurité d'Israël et lui a assuré de sa solidarité.
Face à cette escalade du conflit entre l'Iran et Israël, la communauté internationale appelle à la retenue et à une résolution pacifique de la situation. Les tensions restent vives et la situation continue d'évoluer, nécessitant une vigilance accrue de la part de tous les acteurs impliqués.
Dans un contexte marqué par les attaques de l'Iran contre Israël, les réactions internationales ne se sont pas fait attendre. Des condamnations fermes, des appels à la retenue et des mises en garde ont été exprimés par de nombreux pays et organisations à travers le monde.
Le président américain Joe Biden a condamné ces attaques "éhontées" et a réaffirmé le soutien "inébranlable" des États-Unis à Israël. Il a également souligné que les forces américaines avaient contribué à abattre la majorité des projectiles iraniens.
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a lui aussi fermement condamné cette "grave escalade" et a appelé à une cessation immédiate des hostilités. Il a exprimé sa profonde préoccupation quant à une escalade dévastatrice à l'échelle de la région et a exhorté toutes les parties à faire preuve de retenue.
Le royaume saoudien a appelé toutes les parties à la retenue et à épargner la région et ses habitants des dangers de la guerre. Le ministère saoudien des Affaires étrangères a exprimé sa profonde inquiétude face à l'escalade militaire et a demandé au Conseil de sécurité de l'ONU d'assumer ses responsabilités en matière de maintien de la paix et de la sécurité internationales.
L'Égypte a appelé à une retenue maximale et est en contact direct avec toutes les parties au conflit pour essayer de contenir la situation. Le gouvernement égyptien a mis en garde contre le risque d'expansion régionale du conflit.
La Chine a exprimé sa profonde préoccupation face à l'aggravation de la situation et a appelé toutes les parties concernées à faire preuve de calme et de retenue pour éviter une nouvelle escalade des tensions.
Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a condamné l'attaque du régime iranien contre Israël et a assuré que le Royaume-Uni continuerait à défendre la sécurité d'Israël. Il a annoncé l'envoi d'avions de combat supplémentaires au Proche-Orient et a affirmé travailler en urgence avec ses alliés pour stabiliser la situation et éviter une escalade.
L'Union européenne (UE) a "condamné fermement" l'attaque "inacceptable" de l'Iran contre Israël. Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a qualifié cette attaque d'escalade sans précédent et de menace grave pour la sécurité régionale.
La France a également condamné l'attaque de l'Iran contre Israël, soulignant qu'elle franchissait un nouveau palier dans ses actions de déstabilisation. Le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, a réaffirmé l'attachement de la France à la sécurité d'Israël et lui a assuré de sa solidarité.
Face à cette escalade du conflit entre l'Iran et Israël, la communauté internationale appelle à la retenue et à une résolution pacifique de la situation. Les tensions restent vives et la situation continue d'évoluer, nécessitant une vigilance accrue de la part de tous les acteurs impliqués.
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