Dans un communiqué publié aujourd'hui, plusieurs organisations de défense des droits humains ont exprimé leur indignation face à la condamnation de l'avocate et chroniqueuse Sonia Dahmani à deux ans de prison pour "diffusion de fausses nouvelles".
Selon ces organisations, cette condamnation est une nouvelle atteinte à la liberté d'expression en Tunisie, déjà fragilisée par plusieurs affaires récentes de répression contre les voix critiques du gouvernement. Ils appellent les autorités tunisiennes à respecter les droits fondamentaux et à garantir un environnement propice à la libre expression et au débat démocratique.
Sonia Dahmani avait été arrêtée en mai dernier devant des caméras de télévision, suscitant l'indignation de nombreux Tunisiens et de la communauté internationale. Sa condamnation à huit mois de prison en juillet pour des propos critiques envers le président Kaïs Saïed avait déjà suscité de vives critiques de la part des défenseurs des droits humains.
Les organisations appellent à la libération immédiate de Sonia Dahmani et à l'abandon de toutes les charges retenues contre elle. Elles demandent également aux autorités de garantir la sécurité et la protection des défenseurs des droits humains en Tunisie, qui sont de plus en plus ciblés par des mesures répressives.
Dans un communiqué publié aujourd'hui, plusieurs organisations de défense des droits humains ont exprimé leur indignation face à la condamnation de l'avocate et chroniqueuse Sonia Dahmani à deux ans de prison pour "diffusion de fausses nouvelles".
Selon ces organisations, cette condamnation est une nouvelle atteinte à la liberté d'expression en Tunisie, déjà fragilisée par plusieurs affaires récentes de répression contre les voix critiques du gouvernement. Ils appellent les autorités tunisiennes à respecter les droits fondamentaux et à garantir un environnement propice à la libre expression et au débat démocratique.
Sonia Dahmani avait été arrêtée en mai dernier devant des caméras de télévision, suscitant l'indignation de nombreux Tunisiens et de la communauté internationale. Sa condamnation à huit mois de prison en juillet pour des propos critiques envers le président Kaïs Saïed avait déjà suscité de vives critiques de la part des défenseurs des droits humains.
Les organisations appellent à la libération immédiate de Sonia Dahmani et à l'abandon de toutes les charges retenues contre elle. Elles demandent également aux autorités de garantir la sécurité et la protection des défenseurs des droits humains en Tunisie, qui sont de plus en plus ciblés par des mesures répressives.
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