Le groupe jihadiste JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans) a revendiqué, hier, l'attaque survenue à Barsalogho, qui a ciblé des membres des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), une milice locale. Cette déclaration a suscité l'indignation et l'inquiétude au sein de la population burkinabè, confrontée à une montée de la violence et de l'insécurité.
Les images diffusées sur les réseaux sociaux montrent des dizaines de corps d'hommes en civil, gisant sur le sol, entourés de pelles et de claquettes, sans aucune arme à portée de main. Ces éléments soulèvent des questions sur la nature de l'attaque et les circonstances dans lesquelles ces hommes ont été tués. Des témoignages rapportent que ces victimes étaient des hommes réquisitionnés pour creuser des tranchées destinées aux militaires, soulignant la vulnérabilité de la population face aux conflits armés.
Le groupe jihadiste JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans) a revendiqué, hier, l'attaque survenue à Barsalogho, qui a ciblé des membres des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), une milice locale. Cette déclaration a suscité l'indignation et l'inquiétude au sein de la population burkinabè, confrontée à une montée de la violence et de l'insécurité.
Les images diffusées sur les réseaux sociaux montrent des dizaines de corps d'hommes en civil, gisant sur le sol, entourés de pelles et de claquettes, sans aucune arme à portée de main. Ces éléments soulèvent des questions sur la nature de l'attaque et les circonstances dans lesquelles ces hommes ont été tués. Des témoignages rapportent que ces victimes étaient des hommes réquisitionnés pour creuser des tranchées destinées aux militaires, soulignant la vulnérabilité de la population face aux conflits armés.
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