Le Programme d'adaptation des villes au changement climatique (Pavicc) au Bénin a été au centre des discussions lors de la première session ordinaire de son comité de pilotage, tenue le 3 juillet à Cotonou. Initié en 2018 avec une prolongation jusqu'en mars 2025, ce programme vise à renforcer la résilience des villes béninoises face aux effets du changement climatique, avec le soutien financier de l'Agence française de développement (Afd).
Selon Didier Chabi A. Yayi, Conseiller technique au ministère du Cadre de vie et des Transports, les membres du comité ont évalué les avancements et les défis rencontrés au cours de la rencontre. Un taux global de réalisation physique de 67,90 % a été rapporté, avec un décaissement du bailleur de 57,56 % et un engagement global de 91,75 % à fin mars 2024, basé sur les contrats signés. Abraham Avakoudjo, coordonnateur du Pavicc, a identifié plusieurs obstacles, notamment des retards dans l'examen technique des documents d'urbanisation et des problèmes organisationnels avec certaines entreprises sous contrat pour les investissements urbains résilients.
Des ajustements ont été nécessaires dans le plan de travail budgétaire annuel, affectant la répartition des ressources entre différentes composantes du programme. Pour pallier ces difficultés, des solutions ont été proposées, telles que le réaménagement des travaux, y compris la suppression de certains projets comme la passerelle de Tchonvi à Sèmè-Podji, ainsi que le recours au financement national pour assurer la continuité des opérations. Le comité a également réaffirmé l'application des clauses de pénalités pour les retards des entreprises et a souligné l'importance d'accélérer les formations restantes par le biais du Centre de formation pour l'administration locale (Cefal).
Selon le point fait par l’un des participantsn le Pavicc continue de jouer un rôle crucial dans la préparation des villes béninoises aux défis climatiques futurs. L'accent sera donc mis sur une gestion efficace des ressources et sur le respect des échéanciers pour assurer le succès final du programme et répondre aux attentes des populations bénéficiaires.
Le Programme d'adaptation des villes au changement climatique (Pavicc) au Bénin a été au centre des discussions lors de la première session ordinaire de son comité de pilotage, tenue le 3 juillet à Cotonou. Initié en 2018 avec une prolongation jusqu'en mars 2025, ce programme vise à renforcer la résilience des villes béninoises face aux effets du changement climatique, avec le soutien financier de l'Agence française de développement (Afd).
Selon Didier Chabi A. Yayi, Conseiller technique au ministère du Cadre de vie et des Transports, les membres du comité ont évalué les avancements et les défis rencontrés au cours de la rencontre. Un taux global de réalisation physique de 67,90 % a été rapporté, avec un décaissement du bailleur de 57,56 % et un engagement global de 91,75 % à fin mars 2024, basé sur les contrats signés. Abraham Avakoudjo, coordonnateur du Pavicc, a identifié plusieurs obstacles, notamment des retards dans l'examen technique des documents d'urbanisation et des problèmes organisationnels avec certaines entreprises sous contrat pour les investissements urbains résilients.
Des ajustements ont été nécessaires dans le plan de travail budgétaire annuel, affectant la répartition des ressources entre différentes composantes du programme. Pour pallier ces difficultés, des solutions ont été proposées, telles que le réaménagement des travaux, y compris la suppression de certains projets comme la passerelle de Tchonvi à Sèmè-Podji, ainsi que le recours au financement national pour assurer la continuité des opérations. Le comité a également réaffirmé l'application des clauses de pénalités pour les retards des entreprises et a souligné l'importance d'accélérer les formations restantes par le biais du Centre de formation pour l'administration locale (Cefal).
Selon le point fait par l’un des participantsn le Pavicc continue de jouer un rôle crucial dans la préparation des villes béninoises aux défis climatiques futurs. L'accent sera donc mis sur une gestion efficace des ressources et sur le respect des échéanciers pour assurer le succès final du programme et répondre aux attentes des populations bénéficiaires.
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