Dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et le Hezbollah, une enquête récente du New York Times a révélé des détails troublants concernant les récentes explosions de dispositifs de communication au Liban, qui ont fait 37 morts et plus de 3 500 blessés. Les autorités libanaises ont attribué ces tragédies à des bipeurs et des talkies-walkies piégés, révélant une opération d'infiltration sophistiquée orchestrée par le Mossad.
L'armée israélienne a confirmé avoir ciblé des infrastructures du Hezbollah dans le sud du Liban, tandis que les deux explosions survenues les 17 et 18 septembre ont plongé le pays dans le chaos. Selon des sources militaires, ces appareils, qui auraient été préprogrammés pour exploser, ont été fournis par B.A.C. Consulting, une société basée en Hongrie. Ce qui pourrait rester un détail anodin, s'avère être le cœur d'une opération clandestine israélienne.
Officiellement, les appareils étaient commercialisés par Gold Apollo, une entreprise taïwanaise. Néanmoins, une enquête approfondie a mis en lumière que B.A.C. Consulting n'était qu'une façade israélienne. Des officiers de renseignements israéliens ont révélé que l'entreprise avait été créée dans le but de masquer l'origine véritable de ces équipements, dont la production et la distribution étaient spécifiquement dirigées vers le Hezbollah.
D'après des informations recueillies, la société hongroise offrait des appareils de communication standards à une clientèle ordinaire, mais son véritable client était le Hezbollah. Les bipeurs destinés à ce dernier étaient fabriqués séparément et contenaient des composants explosifs intégrés dans leurs batteries. Cette stratégie a permis au Hezbollah de se doter d'un matériel de communication tout en étant inconscient du danger qui l'accompagnait.
Les premières expéditions de ces dispositifs ont débuté à l'été 2022. Cependant, lorsque Hassan Nasrallah, le leader du Hezbollah, a décidé d'interdire l'utilisation de téléphones portables susceptibles d'être piratés par Israël, la production des bipeurs a été augmentée de manière significative. Les conséquences de ces décisions ont été tragiques, entraînant des pertes humaines et des blessés dans la population civile.
Alors qu'Israël n'a pas officiellement revendiqué ces attaques, les implications géopolitiques sont profondes. La découverte de cette infiltration soulève des questions sur la sécurité des communications au sein du Hezbollah et sur la capacité d'Israël à mener des opérations secrètes au-delà de ses frontières.
Dans un contexte de tensions croissantes entre Israël et le Hezbollah, une enquête récente du New York Times a révélé des détails troublants concernant les récentes explosions de dispositifs de communication au Liban, qui ont fait 37 morts et plus de 3 500 blessés. Les autorités libanaises ont attribué ces tragédies à des bipeurs et des talkies-walkies piégés, révélant une opération d'infiltration sophistiquée orchestrée par le Mossad.
L'armée israélienne a confirmé avoir ciblé des infrastructures du Hezbollah dans le sud du Liban, tandis que les deux explosions survenues les 17 et 18 septembre ont plongé le pays dans le chaos. Selon des sources militaires, ces appareils, qui auraient été préprogrammés pour exploser, ont été fournis par B.A.C. Consulting, une société basée en Hongrie. Ce qui pourrait rester un détail anodin, s'avère être le cœur d'une opération clandestine israélienne.
Officiellement, les appareils étaient commercialisés par Gold Apollo, une entreprise taïwanaise. Néanmoins, une enquête approfondie a mis en lumière que B.A.C. Consulting n'était qu'une façade israélienne. Des officiers de renseignements israéliens ont révélé que l'entreprise avait été créée dans le but de masquer l'origine véritable de ces équipements, dont la production et la distribution étaient spécifiquement dirigées vers le Hezbollah.
D'après des informations recueillies, la société hongroise offrait des appareils de communication standards à une clientèle ordinaire, mais son véritable client était le Hezbollah. Les bipeurs destinés à ce dernier étaient fabriqués séparément et contenaient des composants explosifs intégrés dans leurs batteries. Cette stratégie a permis au Hezbollah de se doter d'un matériel de communication tout en étant inconscient du danger qui l'accompagnait.
Les premières expéditions de ces dispositifs ont débuté à l'été 2022. Cependant, lorsque Hassan Nasrallah, le leader du Hezbollah, a décidé d'interdire l'utilisation de téléphones portables susceptibles d'être piratés par Israël, la production des bipeurs a été augmentée de manière significative. Les conséquences de ces décisions ont été tragiques, entraînant des pertes humaines et des blessés dans la population civile.
Alors qu'Israël n'a pas officiellement revendiqué ces attaques, les implications géopolitiques sont profondes. La découverte de cette infiltration soulève des questions sur la sécurité des communications au sein du Hezbollah et sur la capacité d'Israël à mener des opérations secrètes au-delà de ses frontières.
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