Dans un communiqué alarmant, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) a mis en garde contre la détérioration de la situation des droits humains au Burkina Faso deux ans après le coup d'État d'Ibrahim Traoré.
Drissa Traoré, secrétaire général de l'organisation, a souligné la gravité de la situation, pointant du doigt les arrestations arbitraires, l'enrôlement forcé de civils, la disparition de défenseurs des libertés et la répression de la liberté de la presse.
Selon la FIDH, la pression exercée sur les magistrats et les tentatives présumées d'atteinte à l'autorité de l'État sont particulièrement préoccupantes. L'organisation appelle les autorités burkinabè à cesser leurs ingérences et à garantir l'indépendance de la justice, seule capable de déterminer la véracité de telles accusations.
La FIDH a également dénoncé l'augmentation des disparitions de défenseurs des droits humains et la répression croissante des voix dissidentes. Elle demande la libération immédiate des personnes injustement détenues et appelle à une mobilisation générale pour restaurer les libertés fondamentales au Burkina Faso.
Dans un communiqué alarmant, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) a mis en garde contre la détérioration de la situation des droits humains au Burkina Faso deux ans après le coup d'État d'Ibrahim Traoré.
Drissa Traoré, secrétaire général de l'organisation, a souligné la gravité de la situation, pointant du doigt les arrestations arbitraires, l'enrôlement forcé de civils, la disparition de défenseurs des libertés et la répression de la liberté de la presse.
Selon la FIDH, la pression exercée sur les magistrats et les tentatives présumées d'atteinte à l'autorité de l'État sont particulièrement préoccupantes. L'organisation appelle les autorités burkinabè à cesser leurs ingérences et à garantir l'indépendance de la justice, seule capable de déterminer la véracité de telles accusations.
La FIDH a également dénoncé l'augmentation des disparitions de défenseurs des droits humains et la répression croissante des voix dissidentes. Elle demande la libération immédiate des personnes injustement détenues et appelle à une mobilisation générale pour restaurer les libertés fondamentales au Burkina Faso.
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