Dans les arcanes judiciaires de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), l’affaire Ousmane Traoré, vice-président du Mouvement des élites engagées pour l'émancipation du Bénin (Moele-Bénin) teint toujours l’opinion publique en haleine. Accusé de créances non honorées à hauteur de 123 millions de FCFA envers ses partenaires pour des contrats de graines de coton, Traoré se retrouve au cœur d'un imbroglio financier. Lors de l'audience du mardi 28 mai 2024, les révélations ont fusé de toutes parts. Les partenaires lésés ont défilé à la barre, détaillant les sommes impayées et les contrats partiellement exécutés. Le premier partenaire a souligné les 67 millions de FCFA manquants après une livraison incomplète, tandis que le deuxième a évoqué un reliquat de 36 millions de FCFA. Un troisième partenaire s'est également présenté, réclamant ses 17 millions de FCFA non réglés. Face aux accusations, Traoré a plaidé non-coupable, arguant de difficultés financières personnelles pour justifier les retards de paiement. Cependant, il a fait montre de bonne foi en promettant de rembourser une partie de ses dettes, déjà amorcée par un versement de 50 millions de FCFA via ses avocats. Une demande de déconsignation de 25 millions de FCFA supplémentaires a été formulée, portant le total des remboursements envisagés à 75 millions de FCFA sur les 123 millions dus.
Après un examen minutieux des faits et des arguments présentés, la Cour a décidé d'accorder la liberté provisoire à Traoré. L'accord unanime des parties civiles et du ministère public a facilité cette décision, dans l'optique de trouver rapidement une résolution à ce litige financier. La prochaine étape de cette saga judiciaire est prévue pour le 23 juillet 2024, alors que le drame financier se dévoile devant les yeux de tous dans le tumulte du tribunal.
Dans les arcanes judiciaires de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), l’affaire Ousmane Traoré, vice-président du Mouvement des élites engagées pour l'émancipation du Bénin (Moele-Bénin) teint toujours l’opinion publique en haleine. Accusé de créances non honorées à hauteur de 123 millions de FCFA envers ses partenaires pour des contrats de graines de coton, Traoré se retrouve au cœur d'un imbroglio financier. Lors de l'audience du mardi 28 mai 2024, les révélations ont fusé de toutes parts. Les partenaires lésés ont défilé à la barre, détaillant les sommes impayées et les contrats partiellement exécutés. Le premier partenaire a souligné les 67 millions de FCFA manquants après une livraison incomplète, tandis que le deuxième a évoqué un reliquat de 36 millions de FCFA. Un troisième partenaire s'est également présenté, réclamant ses 17 millions de FCFA non réglés. Face aux accusations, Traoré a plaidé non-coupable, arguant de difficultés financières personnelles pour justifier les retards de paiement. Cependant, il a fait montre de bonne foi en promettant de rembourser une partie de ses dettes, déjà amorcée par un versement de 50 millions de FCFA via ses avocats. Une demande de déconsignation de 25 millions de FCFA supplémentaires a été formulée, portant le total des remboursements envisagés à 75 millions de FCFA sur les 123 millions dus.
Après un examen minutieux des faits et des arguments présentés, la Cour a décidé d'accorder la liberté provisoire à Traoré. L'accord unanime des parties civiles et du ministère public a facilité cette décision, dans l'optique de trouver rapidement une résolution à ce litige financier. La prochaine étape de cette saga judiciaire est prévue pour le 23 juillet 2024, alors que le drame financier se dévoile devant les yeux de tous dans le tumulte du tribunal.
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