Le président tunisien, Kaïs Saïed, a procédé à un vaste remaniement de son gouvernement, remplaçant 22 ministres sur les 30 que comptait son précédent cabinet.
Cette décision, intervenue à six semaines de l'élection présidentielle, a suscité des interrogations quant à ses motivations.
Peu habitué à justifier ses actions, le chef de l'État a pris la parole pour expliquer son choix, le qualifiant d'« indispensable » pour assurer la « sûreté nationale ».
Selon Kaïs Saïed, le gouvernement est là pour assister le président dans l'exercice du pouvoir en Tunisie, et il était nécessaire de mettre un terme à des « centres de pouvoir » au sein de l'appareil d'État.
Le président tunisien, Kaïs Saïed, a procédé à un vaste remaniement de son gouvernement, remplaçant 22 ministres sur les 30 que comptait son précédent cabinet.
Cette décision, intervenue à six semaines de l'élection présidentielle, a suscité des interrogations quant à ses motivations.
Peu habitué à justifier ses actions, le chef de l'État a pris la parole pour expliquer son choix, le qualifiant d'« indispensable » pour assurer la « sûreté nationale ».
Selon Kaïs Saïed, le gouvernement est là pour assister le président dans l'exercice du pouvoir en Tunisie, et il était nécessaire de mettre un terme à des « centres de pouvoir » au sein de l'appareil d'État.
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