Depuis plus de quatre mois, l'incertitude règne autour du sort de onze figures politiques maliennes, membres de la « Déclaration du 31 mars », toujours détenues pour leur opposition à l'exercice de l'autorité légitime. Malgré des tentatives de médiation et des négociations politiques, aucune libération provisoire n'a été obtenue, laissant les proches des détenus dans l'angoisse.
« On nous mène en bateau », déplore un membre de la « Déclaration du 31 mars », soulignant que les annonces de libération proche se sont révélées vaines à trois reprises. Les autorités de transition semblent chercher à « gagner du temps », laissant planer l'ombre d'une possible manipulation politique.
Les proches se demandent si les autorités attendent la finalisation d'une charte nationale pour la réconciliation ou la tenue d'éventuelles élections avant d'agir.
Cette attente insoutenable affecte les familles des onze figures politiques, dispersées dans trois prisons à travers le Mali.
Depuis plus de quatre mois, l'incertitude règne autour du sort de onze figures politiques maliennes, membres de la « Déclaration du 31 mars », toujours détenues pour leur opposition à l'exercice de l'autorité légitime. Malgré des tentatives de médiation et des négociations politiques, aucune libération provisoire n'a été obtenue, laissant les proches des détenus dans l'angoisse.
« On nous mène en bateau », déplore un membre de la « Déclaration du 31 mars », soulignant que les annonces de libération proche se sont révélées vaines à trois reprises. Les autorités de transition semblent chercher à « gagner du temps », laissant planer l'ombre d'une possible manipulation politique.
Les proches se demandent si les autorités attendent la finalisation d'une charte nationale pour la réconciliation ou la tenue d'éventuelles élections avant d'agir.
Cette attente insoutenable affecte les familles des onze figures politiques, dispersées dans trois prisons à travers le Mali.
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