Construire un pays, n’est souvent pas chose aisée. Parfois, les décideurs malgré eux, essuient des mécontentements et procès inutiles de la part des populations. La preuve, la situation à Togbin, village situé entre Cotonou et la ville de Ouidah, depuis plusieurs semaines. Togbin, est un point essentiel dans le Programme d’action du gouvernement (Pag2). Il doit accueillir notamment une cité balnéaire, qui permettra à l’économie béninoise, à travers le tourisme d’engranger des devises. D’où les nombreux travaux actuellement à Togbin, notamment la réalisation de la route qui reliera Cotonou à la ville historique de Ouidah. Alors, que certains accusent le gouvernement de les déloger de force et sans ménagement, d’autres riverains apprécient positivement la politique mise en œuvre. L’objectif étant de désenclaver Togbin, afin d’offrir de meilleures conditions de vie aux populations. « A une certaine époque, cette route était couverte d’herbe, et cet endroit vraiment impraticable. Nous empruntions cette voie pour aller à Grand-Popo. C’était une brousse remplie de serpents. Aujourd’hui tout a changé. Ça devient petit à petit une route bien aménagée, grâce aux choix et à la politique du président Talon », déclare l’un des riverains rencontrés. Certains autochtones pêcheurs ont dû déménager, et ont reconstruit de nouvelles maisons. Ils habitaient sur la plage, dans des taudis. « Nous avons pu reconstruire nos maisons en dur en en meilleurs matériaux. Nos vies ont changé. Celles des enfants et des jeunes aussi. Maintenant, ce qui était une denrée rare, nous avons accès à l’eau potable », confie quelqu’un d’autre. D’ici la fin des travaux, certains espèrent et rêvent de beaucoup de changements. Puisqu’une une fois achevée, la route peut être raccordée à la grande voie de Fidjrossè. Ce qui rendra plus facile l’écoulement vers Cotonou des produits de la pêche.
Construire un pays, n’est souvent pas chose aisée. Parfois, les décideurs malgré eux, essuient des mécontentements et procès inutiles de la part des populations. La preuve, la situation à Togbin, village situé entre Cotonou et la ville de Ouidah, depuis plusieurs semaines. Togbin, est un point essentiel dans le Programme d’action du gouvernement (Pag2). Il doit accueillir notamment une cité balnéaire, qui permettra à l’économie béninoise, à travers le tourisme d’engranger des devises. D’où les nombreux travaux actuellement à Togbin, notamment la réalisation de la route qui reliera Cotonou à la ville historique de Ouidah. Alors, que certains accusent le gouvernement de les déloger de force et sans ménagement, d’autres riverains apprécient positivement la politique mise en œuvre. L’objectif étant de désenclaver Togbin, afin d’offrir de meilleures conditions de vie aux populations. « A une certaine époque, cette route était couverte d’herbe, et cet endroit vraiment impraticable. Nous empruntions cette voie pour aller à Grand-Popo. C’était une brousse remplie de serpents. Aujourd’hui tout a changé. Ça devient petit à petit une route bien aménagée, grâce aux choix et à la politique du président Talon », déclare l’un des riverains rencontrés. Certains autochtones pêcheurs ont dû déménager, et ont reconstruit de nouvelles maisons. Ils habitaient sur la plage, dans des taudis. « Nous avons pu reconstruire nos maisons en dur en en meilleurs matériaux. Nos vies ont changé. Celles des enfants et des jeunes aussi. Maintenant, ce qui était une denrée rare, nous avons accès à l’eau potable », confie quelqu’un d’autre. D’ici la fin des travaux, certains espèrent et rêvent de beaucoup de changements. Puisqu’une une fois achevée, la route peut être raccordée à la grande voie de Fidjrossè. Ce qui rendra plus facile l’écoulement vers Cotonou des produits de la pêche.
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