En Côte d'Ivoire, la variole du singe continue de faire des ravages, avec huit cas confirmés par les autorités sanitaires et un premier décès enregistré. Cette maladie, qui peut se transmettre de l'animal à l'homme, soulève des inquiétudes quant à la possibilité d'une propagation plus large.
Face à cette situation préoccupante, le gouvernement appelle la population à éviter tout contact avec les animaux sauvages, et rappelle l'interdiction de les détenir en captivité.
En effet, la chasse étant actuellement fermée, il est illégal d'élever des singes, des agoutis, des écureuils ou d'autres espèces sauvages, que ce soit comme animaux de compagnie ou pour la consommation de viande de brousse.
Il est urgent que des mesures strictes soient mises en place pour prévenir la propagation de la variole du singe et protéger la santé publique. Il est également crucial que des efforts soient déployés pour identifier les chaînes de transmission de cette maladie afin d'y mettre un terme efficacement.
En Côte d'Ivoire, la variole du singe continue de faire des ravages, avec huit cas confirmés par les autorités sanitaires et un premier décès enregistré. Cette maladie, qui peut se transmettre de l'animal à l'homme, soulève des inquiétudes quant à la possibilité d'une propagation plus large.
Face à cette situation préoccupante, le gouvernement appelle la population à éviter tout contact avec les animaux sauvages, et rappelle l'interdiction de les détenir en captivité.
En effet, la chasse étant actuellement fermée, il est illégal d'élever des singes, des agoutis, des écureuils ou d'autres espèces sauvages, que ce soit comme animaux de compagnie ou pour la consommation de viande de brousse.
Il est urgent que des mesures strictes soient mises en place pour prévenir la propagation de la variole du singe et protéger la santé publique. Il est également crucial que des efforts soient déployés pour identifier les chaînes de transmission de cette maladie afin d'y mettre un terme efficacement.
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