Au Rwanda, la fermeture de plus de 5 600 lieux de culte par les autorités a suscité des inquiétudes et des espoirs parmi les fidèles. Cette mesure, prise pour non-respect des normes établies dans une loi de 2018, vise à garantir la sécurité et le bien-être des croyants en imposant des critères stricts en matière d’hygiène, de sécurité et de qualifications des prêcheurs.
À Kigali, la capitale, la fermeture des églises et des mosquées a laissé de nombreux fidèles dans l'attente d'une réouverture imminente.
Pour rouvrir, les lieux de culte doivent entreprendre d'importants travaux de rénovation. Cela inclut l'installation de fosses septiques, l'approvisionnement en eau et des mesures d'insonorisation.
Les autorités rwandaises, tout en affirmant leur engagement envers la sécurité des fidèles, ont également souligné l'importance de la conformité aux normes. Les responsables de la gouvernance ont indiqué que ces mesures visent à prévenir les accidents et garantir un environnement sûr pour les assemblées.
Au Rwanda, la fermeture de plus de 5 600 lieux de culte par les autorités a suscité des inquiétudes et des espoirs parmi les fidèles. Cette mesure, prise pour non-respect des normes établies dans une loi de 2018, vise à garantir la sécurité et le bien-être des croyants en imposant des critères stricts en matière d’hygiène, de sécurité et de qualifications des prêcheurs.
À Kigali, la capitale, la fermeture des églises et des mosquées a laissé de nombreux fidèles dans l'attente d'une réouverture imminente.
Pour rouvrir, les lieux de culte doivent entreprendre d'importants travaux de rénovation. Cela inclut l'installation de fosses septiques, l'approvisionnement en eau et des mesures d'insonorisation.
Les autorités rwandaises, tout en affirmant leur engagement envers la sécurité des fidèles, ont également souligné l'importance de la conformité aux normes. Les responsables de la gouvernance ont indiqué que ces mesures visent à prévenir les accidents et garantir un environnement sûr pour les assemblées.
Politique & Société