45.000 tonnes d’engrais NPK reçues hier au Port autonome de Cotonou et une deuxième cargaison attendue d’ici à fin mars, début avril 2024. Et ce n’est pas tout. Un troisième bateau pourrait débarquer au Port de Cotonou, toujours avec du NPK selon Serge ADEROMOU, Directeur général de la Société pour le développement du Coton (SODECO S.A.), importatrice qui a indiqué que le Bénin entend importer 120.000 tonnes de NPK pour couvrir les besoins des producteurs pour la campagne agricole 2024-2025. Cette cargaison viendra compléter 100.000 tonnes d’urée reçues précédemment par le Bénin. Tout se met ainsi soigneusement en place pour le succès de la prochaine campagne agricole au Bénin. Pour la réception de cette première cargaison de NPK, le ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche était au Port autonome de Cotonou où il a constaté le déchargement. A l’occasion, Gaston Cossi DOSSOUHOUI, a souligné que cet engrais ira au profit des toutes les filières agricoles, agricoles, du vivriers au coton. D’ailleurs, les chargements sont en cours en direction de toutes les zones de production agricoles pour desservir les producteurs. C’est progressivement une promesse que tient le gouvernement a salué Arouna LAWANI, président de Plateforme Nationale des Organisations Paysannes et de producteurs Agricoles du Bénin (PNOPPA) qui a rappelé que le gouvernement avait promis mettre suffisamment d’engrais à disposition des producteurs et a tenu parole. Il a dit la fierté des producteurs et a promis que les producteurs eux aussi ne vont pas décevoir l’Etat. « Nous remercions le Chef de l’État. Nous sommes fiers de lui et lui promettons d’atteindre les objectifs assignés », a déclaré le président PNOPPA, Arouna LAWANI.
Il faut rappeler que les dernières campagnes, le Bénin a brillé par ses performances en production cotonnière et entend maintenir le cap. Avec le projet de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (DGIZ), le pays entend renforcer ses capacités productives et assurer la disponibilité à plein temps de la matière première aux unités de production installées dans la GDIZ. Dans les autres secteurs agricoles aussi, le défi reste grand et méthodiquement, le pays y fait face. Le coton faudrait-il le rappeler, représente environ 40% des sources de revenus extérieures du Bénin, 12 à 13% du PIB, et aliment jusqu’à 60% du tissu industriel national. De nombreuse populations des zones du Centre et du Nord du pays en vivent.
45.000 tonnes d’engrais NPK reçues hier au Port autonome de Cotonou et une deuxième cargaison attendue d’ici à fin mars, début avril 2024. Et ce n’est pas tout. Un troisième bateau pourrait débarquer au Port de Cotonou, toujours avec du NPK selon Serge ADEROMOU, Directeur général de la Société pour le développement du Coton (SODECO S.A.), importatrice qui a indiqué que le Bénin entend importer 120.000 tonnes de NPK pour couvrir les besoins des producteurs pour la campagne agricole 2024-2025. Cette cargaison viendra compléter 100.000 tonnes d’urée reçues précédemment par le Bénin. Tout se met ainsi soigneusement en place pour le succès de la prochaine campagne agricole au Bénin. Pour la réception de cette première cargaison de NPK, le ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche était au Port autonome de Cotonou où il a constaté le déchargement. A l’occasion, Gaston Cossi DOSSOUHOUI, a souligné que cet engrais ira au profit des toutes les filières agricoles, agricoles, du vivriers au coton. D’ailleurs, les chargements sont en cours en direction de toutes les zones de production agricoles pour desservir les producteurs. C’est progressivement une promesse que tient le gouvernement a salué Arouna LAWANI, président de Plateforme Nationale des Organisations Paysannes et de producteurs Agricoles du Bénin (PNOPPA) qui a rappelé que le gouvernement avait promis mettre suffisamment d’engrais à disposition des producteurs et a tenu parole. Il a dit la fierté des producteurs et a promis que les producteurs eux aussi ne vont pas décevoir l’Etat. « Nous remercions le Chef de l’État. Nous sommes fiers de lui et lui promettons d’atteindre les objectifs assignés », a déclaré le président PNOPPA, Arouna LAWANI.
Il faut rappeler que les dernières campagnes, le Bénin a brillé par ses performances en production cotonnière et entend maintenir le cap. Avec le projet de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (DGIZ), le pays entend renforcer ses capacités productives et assurer la disponibilité à plein temps de la matière première aux unités de production installées dans la GDIZ. Dans les autres secteurs agricoles aussi, le défi reste grand et méthodiquement, le pays y fait face. Le coton faudrait-il le rappeler, représente environ 40% des sources de revenus extérieures du Bénin, 12 à 13% du PIB, et aliment jusqu’à 60% du tissu industriel national. De nombreuse populations des zones du Centre et du Nord du pays en vivent.
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