Au Mali, une semaine après les attaques jihadistes à Bamako, les interpellations se poursuivent et suscitent de vives inquiétudes. Le colonel Assimi Goïta s'est exprimé pour la première fois depuis les attaques, assurant les Maliens de la poursuite des opérations de stabilisation.
Les autorités ont procédé à de nombreuses arrestations, notamment à Bamako et à Kati, sans donner de bilan officiel. Les personnes interpellées sont détenues par les services de la Sécurité d'État ou de la gendarmerie, mais aucune communication officielle n'a été faite à ce stade.
Les autorités maliennes ont appelé la population à collaborer en fournissant des informations pour appréhender d'éventuels complices, tout en mettant en garde contre les amalgames et les représailles communautaires. Face à cette situation, de nombreuses inquiétudes sont exprimées, notamment dans les rangs de certaines communautés qui se disent victimes de stigmatisation.
Au Mali, une semaine après les attaques jihadistes à Bamako, les interpellations se poursuivent et suscitent de vives inquiétudes. Le colonel Assimi Goïta s'est exprimé pour la première fois depuis les attaques, assurant les Maliens de la poursuite des opérations de stabilisation.
Les autorités ont procédé à de nombreuses arrestations, notamment à Bamako et à Kati, sans donner de bilan officiel. Les personnes interpellées sont détenues par les services de la Sécurité d'État ou de la gendarmerie, mais aucune communication officielle n'a été faite à ce stade.
Les autorités maliennes ont appelé la population à collaborer en fournissant des informations pour appréhender d'éventuels complices, tout en mettant en garde contre les amalgames et les représailles communautaires. Face à cette situation, de nombreuses inquiétudes sont exprimées, notamment dans les rangs de certaines communautés qui se disent victimes de stigmatisation.
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