Le groupe jihadiste JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans), lié à Al-Qaïda, a annoncé ce lundi 3 mars la levée du blocus imposé à la ville de Léré, dans la région de Tombouctou, au Mali. Ce blocus, en place depuis le 29 novembre dernier, a plongé la population dans une situation de grande précarité pendant près de trois mois.
Dans des messages audios diffusés ce soir-là, le JNIM a notifié la fin de l'embargo. Cette annonce est accueillie avec soulagement par les populations locales contactées par RFI. Néanmoins, aucune raison explicite n'est avancée pour justifier cette décision inattendue.
Léré, localisée dans une zone longtemps troublée par l'insécurité, a été durement touchée par le blocus, qui a entravé la circulation des biens et des personnes.
La population, déjà fragile, a été confrontée à des difficultés d'approvisionnement en vivres, médicaments et autres nécessités. La levée du blocus permettra, espère-t-on, de rétablir une relative normalisation de la vie quotidienne dans la ville.
La décision du JNIM survient alors que la situation sécuritaire au Mali reste préoccupante. Les différentes factions en présence, malgré leurs divergences, continuent de peser sur la vie des populations civiles.
L'absence d'explication quant à la levée du blocus laisse planer des interrogations sur les motivations du groupe et sur la persistance des tensions dans la région. De quelle influence, politique ou autre, cette décision est-elle le reflet ? Cette question se pose avec acuité.
Le groupe jihadiste JNIM (Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans), lié à Al-Qaïda, a annoncé ce lundi 3 mars la levée du blocus imposé à la ville de Léré, dans la région de Tombouctou, au Mali. Ce blocus, en place depuis le 29 novembre dernier, a plongé la population dans une situation de grande précarité pendant près de trois mois.
Dans des messages audios diffusés ce soir-là, le JNIM a notifié la fin de l'embargo. Cette annonce est accueillie avec soulagement par les populations locales contactées par RFI. Néanmoins, aucune raison explicite n'est avancée pour justifier cette décision inattendue.
Léré, localisée dans une zone longtemps troublée par l'insécurité, a été durement touchée par le blocus, qui a entravé la circulation des biens et des personnes.
La population, déjà fragile, a été confrontée à des difficultés d'approvisionnement en vivres, médicaments et autres nécessités. La levée du blocus permettra, espère-t-on, de rétablir une relative normalisation de la vie quotidienne dans la ville.
La décision du JNIM survient alors que la situation sécuritaire au Mali reste préoccupante. Les différentes factions en présence, malgré leurs divergences, continuent de peser sur la vie des populations civiles.
L'absence d'explication quant à la levée du blocus laisse planer des interrogations sur les motivations du groupe et sur la persistance des tensions dans la région. De quelle influence, politique ou autre, cette décision est-elle le reflet ? Cette question se pose avec acuité.
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