Les coupures d'électricité récurrentes à la prison civile de Lomé au Togo ont été pointées du doigt par l'Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO), qui alerte sur les conditions de détention inhumaines et insalubres dans l'établissement surpeuplé. Avec une capacité pour seulement 600 détenus, la prison accueille actuellement près de 2 000 prisonniers, ce qui aggrave la situation déjà critique.
Les coupures d'électricité, qui ont privé la prison de Lomé de tout système de ventilation et d'éclairage pendant des heures, ont entraîné une augmentation de la chaleur à l'intérieur des cellules, rendant l'atmosphère suffocante pour les détenus. Certains d'entre eux ont même perdu connaissance en raison de la chaleur extrême. L'ASVITTO souligne que les prisonniers doivent faire face à des conditions de vie inhumaines, notamment en ce qui concerne l'hygiène.
En l'absence d'électricité, les détenus n'ont pas accès à des toilettes fonctionnelles la nuit, ce qui contribue à la propagation d'odeurs nauséabondes dans les cellules.
Cette situation alarmante met en lumière la surpopulation carcérale et le non-respect des normes internationales dans les prisons togolaises, comme l'avait déjà souligné Amnesty International dans un rapport précédent.
L'organisation appelait notamment à une réforme du système judiciaire togolais pour réduire le nombre de détentions préventives et promouvoir l'utilisation de peines alternatives.
Les coupures d'électricité récurrentes à la prison civile de Lomé au Togo ont été pointées du doigt par l'Association des victimes de la torture au Togo (ASVITTO), qui alerte sur les conditions de détention inhumaines et insalubres dans l'établissement surpeuplé. Avec une capacité pour seulement 600 détenus, la prison accueille actuellement près de 2 000 prisonniers, ce qui aggrave la situation déjà critique.
Les coupures d'électricité, qui ont privé la prison de Lomé de tout système de ventilation et d'éclairage pendant des heures, ont entraîné une augmentation de la chaleur à l'intérieur des cellules, rendant l'atmosphère suffocante pour les détenus. Certains d'entre eux ont même perdu connaissance en raison de la chaleur extrême. L'ASVITTO souligne que les prisonniers doivent faire face à des conditions de vie inhumaines, notamment en ce qui concerne l'hygiène.
En l'absence d'électricité, les détenus n'ont pas accès à des toilettes fonctionnelles la nuit, ce qui contribue à la propagation d'odeurs nauséabondes dans les cellules.
Cette situation alarmante met en lumière la surpopulation carcérale et le non-respect des normes internationales dans les prisons togolaises, comme l'avait déjà souligné Amnesty International dans un rapport précédent.
L'organisation appelait notamment à une réforme du système judiciaire togolais pour réduire le nombre de détentions préventives et promouvoir l'utilisation de peines alternatives.
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