Depuis près de 30 ans, le secteur funéraire au Bénin est régi par l'arrêté interministériel du 23 février 1995, qui réglemente les activités des entreprises privées de pompes funèbres. Cependant, au fil du temps, il est devenu évident que ce cadre réglementaire est devenu obsolète et ne répond plus aux exigences actuelles du secteur funéraire.
L'arrêté en vigueur n'a pas intégré tous les aspects nécessaires de la sphère funéraire, en se limitant principalement à la gestion des entreprises privées de pompes funèbres. Notamment, il ne traite pas de la gestion des cimetières, ce qui a conduit à des situations conflictuelles liées à leur aménagement.
De plus, des lacunes significatives persistent en matière de respect de l'intégrité physique et de la mémoire des défunts, ainsi que dans la protection de l'environnement. Face à ces insuffisances, une réforme urgente s'impose pour mettre le secteur funéraire en conformité avec les normes et standards requis en matière de santé, d'hygiène, d'assainissement et d'environnement au Bénin.
Dans cette perspective, le nouveau décret introduit des innovations majeures. Il prévoit la catégorisation des activités funéraires, ainsi que l'établissement de normes techniques, sanitaires et environnementales strictes applicables à la création et à la gestion des pompes funèbres, des funérariums, des crématoriums et des cimetières.
De plus, des qualifications minimales seront désormais exigées pour opérer dans ce secteur, et des sanctions sévères sont prévues pour les contrevenants aux règles établies.
Les ministres concernés sont chargés de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer l'application effective de cette nouvelle réglementation, afin de garantir un secteur funéraire mieux organisé, respectueux des normes de santé publique et de protection de l'environnement au Bénin.
Depuis près de 30 ans, le secteur funéraire au Bénin est régi par l'arrêté interministériel du 23 février 1995, qui réglemente les activités des entreprises privées de pompes funèbres. Cependant, au fil du temps, il est devenu évident que ce cadre réglementaire est devenu obsolète et ne répond plus aux exigences actuelles du secteur funéraire.
L'arrêté en vigueur n'a pas intégré tous les aspects nécessaires de la sphère funéraire, en se limitant principalement à la gestion des entreprises privées de pompes funèbres. Notamment, il ne traite pas de la gestion des cimetières, ce qui a conduit à des situations conflictuelles liées à leur aménagement.
De plus, des lacunes significatives persistent en matière de respect de l'intégrité physique et de la mémoire des défunts, ainsi que dans la protection de l'environnement. Face à ces insuffisances, une réforme urgente s'impose pour mettre le secteur funéraire en conformité avec les normes et standards requis en matière de santé, d'hygiène, d'assainissement et d'environnement au Bénin.
Dans cette perspective, le nouveau décret introduit des innovations majeures. Il prévoit la catégorisation des activités funéraires, ainsi que l'établissement de normes techniques, sanitaires et environnementales strictes applicables à la création et à la gestion des pompes funèbres, des funérariums, des crématoriums et des cimetières.
De plus, des qualifications minimales seront désormais exigées pour opérer dans ce secteur, et des sanctions sévères sont prévues pour les contrevenants aux règles établies.
Les ministres concernés sont chargés de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer l'application effective de cette nouvelle réglementation, afin de garantir un secteur funéraire mieux organisé, respectueux des normes de santé publique et de protection de l'environnement au Bénin.
Politique & Société