Le groupe français Orano, actionnaire principal du projet, a annoncé le lancement de "travaux préparatoires" sur le gisement d'Imouraren, l'un des plus grands au monde. Cette annonce intervient dans un contexte de tensions entre les autorités nigériennes et les opérateurs miniers occidentaux. Le groupe Orano a indiqué que la co-entreprise Imouraren SA a franchi un nouveau jalon dans la mise en exploitation du gisement.
Les infrastructures du site ont été rouvertes pour accueillir les équipes de construction et faire avancer les travaux.
Mis en suspens depuis 2011 suite à la catastrophe de Fukushima, le projet d'Imouraren, l'un des plus grands gisements d'uranium au monde, devrait désormais redémarrer. Selon Orano, les conditions actuelles du marché, avec une hausse favorable du cours, ont permis d'envisager une mise en exploitation. Ce redémarrage potentiel intervient dans un contexte de tensions entre les autorités nigériennes et les compagnies minières occidentales.
Le gouvernement de Niamey cherche à renégocier les termes des contrats miniers historiques, afin d'obtenir de meilleures retombées économiques pour le pays.
Le groupe français Orano, actionnaire principal du projet, a annoncé le lancement de "travaux préparatoires" sur le gisement d'Imouraren, l'un des plus grands au monde. Cette annonce intervient dans un contexte de tensions entre les autorités nigériennes et les opérateurs miniers occidentaux. Le groupe Orano a indiqué que la co-entreprise Imouraren SA a franchi un nouveau jalon dans la mise en exploitation du gisement.
Les infrastructures du site ont été rouvertes pour accueillir les équipes de construction et faire avancer les travaux.
Mis en suspens depuis 2011 suite à la catastrophe de Fukushima, le projet d'Imouraren, l'un des plus grands gisements d'uranium au monde, devrait désormais redémarrer. Selon Orano, les conditions actuelles du marché, avec une hausse favorable du cours, ont permis d'envisager une mise en exploitation. Ce redémarrage potentiel intervient dans un contexte de tensions entre les autorités nigériennes et les compagnies minières occidentales.
Le gouvernement de Niamey cherche à renégocier les termes des contrats miniers historiques, afin d'obtenir de meilleures retombées économiques pour le pays.
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