Le projet de Constitution gabonaise, qui sera soumis à un référendum le 16 novembre, a suscité une division politique significative parmi les différentes figures du pays. Alors que le Premier ministre Raymond Ndong Sima cherche à obtenir une "majorité franche" en faveur du projet, de nombreux acteurs politiques se sont déjà positionnés, rendant la campagne officielle qui débutera le 6 novembre encore plus animée.
D'un côté, le parti au pouvoir PDG a affiché ouvertement son soutien pour le projet, provoquant des critiques de la part de ceux qui voient le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) comme une continuation du PDG sous un nouveau nom. Des voix opposées, telles que Bertrand Zibi Abeghe du parti Quartier général (QG), en ont fait un enjeu de principe et ont affirmé qu'ils pouvaient eux-mêmes voter "oui" sans le soutien du PDG.
En revanche, d'anciens opposants ralliés à la transition ont pris position en faveur du projet, arguant qu'il s'agit d'un choix de "raison" et non d'affiliation politique. Cependant, des voix critiques, comme l'ex-Premier ministre Alain-Claude Bilie-By-Nze et le député Jean-Valentin Leyama, ont exprimé leurs réserves à l'égard du texte.
Le projet de Constitution gabonaise, qui sera soumis à un référendum le 16 novembre, a suscité une division politique significative parmi les différentes figures du pays. Alors que le Premier ministre Raymond Ndong Sima cherche à obtenir une "majorité franche" en faveur du projet, de nombreux acteurs politiques se sont déjà positionnés, rendant la campagne officielle qui débutera le 6 novembre encore plus animée.
D'un côté, le parti au pouvoir PDG a affiché ouvertement son soutien pour le projet, provoquant des critiques de la part de ceux qui voient le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) comme une continuation du PDG sous un nouveau nom. Des voix opposées, telles que Bertrand Zibi Abeghe du parti Quartier général (QG), en ont fait un enjeu de principe et ont affirmé qu'ils pouvaient eux-mêmes voter "oui" sans le soutien du PDG.
En revanche, d'anciens opposants ralliés à la transition ont pris position en faveur du projet, arguant qu'il s'agit d'un choix de "raison" et non d'affiliation politique. Cependant, des voix critiques, comme l'ex-Premier ministre Alain-Claude Bilie-By-Nze et le député Jean-Valentin Leyama, ont exprimé leurs réserves à l'égard du texte.
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