À Cotonou, un atelier stratégique s'est récemment ouvert pour renforcer les capacités dans la gestion des marchandises dangereuses dans les ports africains. Organisé par l'Académie régionale des sciences et techniques de la mer (Arstm) via l'Institut de sécurité maritime interrégional (Ismi), cet événement a attiré des représentants de plusieurs pays, dont la Côte d'Ivoire, le Sénégal, le Togo, l'Angola, la Guinée, la Gambie et le Ghana. L'objectif principal de cet atelier était de former les acteurs clés des ports dans l'audit, le contrôle et la supervision des opérations liées aux marchandises dangereuses.
Le colonel Aké Lazare Abé, directeur de l'Ismi, a souligné l'importance cruciale de ces efforts, compte tenu du risque élevé d'incendies et d'explosions que représentent ces cargaisons sensibles. Il a illustré ses propos en citant des incidents récents à Beyrouth et à Lomé, soulignant ainsi l'urgence d'une gestion sécurisée de ces marchandises. La formation à Cotonou a été structurée pour approfondir la compréhension des normes internationales et des meilleures pratiques en matière de sécurité portuaire. Chaque pays participant a partagé ses expériences spécifiques et discuté des défis locaux, favorisant ainsi un échange enrichissant de connaissances entre les professionnels du secteur maritime.
Pour le Colonel Idrissou Imorou, directeur de la Législation et de la Coopération de la Douane béninoise, cette initiative revêt une importance capitale pour le Bénin, en tant que plaque tournante portuaire stratégique en Afrique de l'Ouest. Il a souligné l'impact potentiel de cette formation pour renforcer la préparation et la réactivité face aux risques associés aux marchandises dangereuses, améliorant ainsi la sécurité globale du port de Cotonou.
À la clôture de cet atelier, les participants ont reçu une législation modèle adaptée à leurs contextes nationaux, visant à faciliter l'application des meilleures pratiques et des normes de sécurité internationales dans la gestion des marchandises dangereuses.
À Cotonou, un atelier stratégique s'est récemment ouvert pour renforcer les capacités dans la gestion des marchandises dangereuses dans les ports africains. Organisé par l'Académie régionale des sciences et techniques de la mer (Arstm) via l'Institut de sécurité maritime interrégional (Ismi), cet événement a attiré des représentants de plusieurs pays, dont la Côte d'Ivoire, le Sénégal, le Togo, l'Angola, la Guinée, la Gambie et le Ghana. L'objectif principal de cet atelier était de former les acteurs clés des ports dans l'audit, le contrôle et la supervision des opérations liées aux marchandises dangereuses.
Le colonel Aké Lazare Abé, directeur de l'Ismi, a souligné l'importance cruciale de ces efforts, compte tenu du risque élevé d'incendies et d'explosions que représentent ces cargaisons sensibles. Il a illustré ses propos en citant des incidents récents à Beyrouth et à Lomé, soulignant ainsi l'urgence d'une gestion sécurisée de ces marchandises. La formation à Cotonou a été structurée pour approfondir la compréhension des normes internationales et des meilleures pratiques en matière de sécurité portuaire. Chaque pays participant a partagé ses expériences spécifiques et discuté des défis locaux, favorisant ainsi un échange enrichissant de connaissances entre les professionnels du secteur maritime.
Pour le Colonel Idrissou Imorou, directeur de la Législation et de la Coopération de la Douane béninoise, cette initiative revêt une importance capitale pour le Bénin, en tant que plaque tournante portuaire stratégique en Afrique de l'Ouest. Il a souligné l'impact potentiel de cette formation pour renforcer la préparation et la réactivité face aux risques associés aux marchandises dangereuses, améliorant ainsi la sécurité globale du port de Cotonou.
À la clôture de cet atelier, les participants ont reçu une législation modèle adaptée à leurs contextes nationaux, visant à faciliter l'application des meilleures pratiques et des normes de sécurité internationales dans la gestion des marchandises dangereuses.
Politique & Société