La marine française se prépare à accueillir plus de 50 marins, gendarmes et douaniers africains à bord de l'un de ses porte-hélicoptères amphibies pour un stage d'instruction régionale numérique. Cet événement, organisé sous l'égide du commandement de la zone maritime Atlantique, vise à renforcer la coopération entre Paris et les États du golfe de Guinée.
Parallèlement, l'exercice naval Grand African NEMO rassemblera les marines de nombreux pays africains ainsi que des partenaires occidentaux pour des simulations opérationnelles visant à lutter contre la piraterie, la pollution maritime, la pêche illégale et le narcotrafic. La France, qui dispose de moyens de surveillance et d'intervention dans la région, cherche à intensifier son soutien aux États du golfe de Guinée pour contrer le trafic de drogue en provenance d'Amérique du Sud.
La collaboration active entre la marine française et ses homologues sénégalais a déjà permis plusieurs saisies de drogue en mer. Paris envisage également d'étendre son offre d'appui à la relocalisation des navires suspects à d'autres pays de la région, tels que le Togo et le Bénin.
La marine française se prépare à accueillir plus de 50 marins, gendarmes et douaniers africains à bord de l'un de ses porte-hélicoptères amphibies pour un stage d'instruction régionale numérique. Cet événement, organisé sous l'égide du commandement de la zone maritime Atlantique, vise à renforcer la coopération entre Paris et les États du golfe de Guinée.
Parallèlement, l'exercice naval Grand African NEMO rassemblera les marines de nombreux pays africains ainsi que des partenaires occidentaux pour des simulations opérationnelles visant à lutter contre la piraterie, la pollution maritime, la pêche illégale et le narcotrafic. La France, qui dispose de moyens de surveillance et d'intervention dans la région, cherche à intensifier son soutien aux États du golfe de Guinée pour contrer le trafic de drogue en provenance d'Amérique du Sud.
La collaboration active entre la marine française et ses homologues sénégalais a déjà permis plusieurs saisies de drogue en mer. Paris envisage également d'étendre son offre d'appui à la relocalisation des navires suspects à d'autres pays de la région, tels que le Togo et le Bénin.
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