Les députés français ont récemment adopté un article du projet de loi agricole qui vise à conférer à l'agriculture un caractère «d'intérêt général majeur», une mesure saluée par certains mais critiquée par d'autres.
Cette initiative, promise par Emmanuel Macron lors du salon de l'Agriculture 2024, a été accueillie favorablement par le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, comme un moyen de positionner l'agriculture en équilibre avec l'environnement. Cependant, certains députés et juristes restent sceptiques quant à la portée réelle de cette mesure, la qualifiant d'illusion qui ne remettrait pas en cause la protection de l'environnement.
Alors que le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, évoque des effets à long terme sur les politiques publiques et les projets agricoles, d'autres estiment que l'article n'apporte aucune contrainte réelle et ne modifie pas la hiérarchie des normes en vigueur. Des voix de l'opposition, telles que le PS, le PCF ou même la LFI, dénoncent le manque de mesures concrètes pour soutenir les agriculteurs, comme des prix planchers ou des améliorations des conditions de travail.
Les députés français ont récemment adopté un article du projet de loi agricole qui vise à conférer à l'agriculture un caractère «d'intérêt général majeur», une mesure saluée par certains mais critiquée par d'autres.
Cette initiative, promise par Emmanuel Macron lors du salon de l'Agriculture 2024, a été accueillie favorablement par le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, comme un moyen de positionner l'agriculture en équilibre avec l'environnement. Cependant, certains députés et juristes restent sceptiques quant à la portée réelle de cette mesure, la qualifiant d'illusion qui ne remettrait pas en cause la protection de l'environnement.
Alors que le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, évoque des effets à long terme sur les politiques publiques et les projets agricoles, d'autres estiment que l'article n'apporte aucune contrainte réelle et ne modifie pas la hiérarchie des normes en vigueur. Des voix de l'opposition, telles que le PS, le PCF ou même la LFI, dénoncent le manque de mesures concrètes pour soutenir les agriculteurs, comme des prix planchers ou des améliorations des conditions de travail.
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