Dans la soirée du mercredi 7 août, le village de Kouakourou, situé dans la région de Mopti, a été le théâtre d'une attaque orchestrée par des membres de la Katiba Macina, un groupe lié au soutien à l'islam et aux musulmans. Cette incursion a visé le camp des Forces armées maliennes, entraînant plusieurs blessés parmi les soldats et la population locale.
Les événements se sont déroulés aux alentours de 19h, lorsque des hommes armés, arrivés à moto, ont pénétré dans le village. Des échanges de tirs intenses ont suivi, les forces de sécurité ont tenté de défendre leur position, mais ont été contraintes de se retirer face à la supériorité numérique des assaillants. Ce repli a permis aux terroristes de prendre le contrôle du poste militaire, de piller du matériel et d'incendier les lieux.
Les habitants, plongés dans la peur, se sont barricadés chez eux durant toute la durée de l’attaque. Ce climat d'angoisse rappelle une attaque similaire survenue en juillet 2023, où une voiture piégée avait fait plusieurs victimes parmi les militaires et des civils.
Kouakourou, un village martyr de la crise au Mali, a déjà connu des épreuves similaires. En 2017, il avait subi un embargo en raison de son refus de céder aux menaces des groupes terroristes. À la suite de cette résistance, un camp militaire a été établi dans le village, à la demande des habitants, pour assurer leur protection.
Malgré les dommages causés par l'attaque de mercredi, les forces maliennes ont réussi à reprendre le contrôle de la position. Parallèlement, dans la région de Kidal, les forces armées maliennes ont annoncé avoir mené des frappes chirurgicales contre des cibles terroristes, neutralisant plusieurs assaillants et détruisant une base et des véhicules.
Dans la soirée du mercredi 7 août, le village de Kouakourou, situé dans la région de Mopti, a été le théâtre d'une attaque orchestrée par des membres de la Katiba Macina, un groupe lié au soutien à l'islam et aux musulmans. Cette incursion a visé le camp des Forces armées maliennes, entraînant plusieurs blessés parmi les soldats et la population locale.
Les événements se sont déroulés aux alentours de 19h, lorsque des hommes armés, arrivés à moto, ont pénétré dans le village. Des échanges de tirs intenses ont suivi, les forces de sécurité ont tenté de défendre leur position, mais ont été contraintes de se retirer face à la supériorité numérique des assaillants. Ce repli a permis aux terroristes de prendre le contrôle du poste militaire, de piller du matériel et d'incendier les lieux.
Les habitants, plongés dans la peur, se sont barricadés chez eux durant toute la durée de l’attaque. Ce climat d'angoisse rappelle une attaque similaire survenue en juillet 2023, où une voiture piégée avait fait plusieurs victimes parmi les militaires et des civils.
Kouakourou, un village martyr de la crise au Mali, a déjà connu des épreuves similaires. En 2017, il avait subi un embargo en raison de son refus de céder aux menaces des groupes terroristes. À la suite de cette résistance, un camp militaire a été établi dans le village, à la demande des habitants, pour assurer leur protection.
Malgré les dommages causés par l'attaque de mercredi, les forces maliennes ont réussi à reprendre le contrôle de la position. Parallèlement, dans la région de Kidal, les forces armées maliennes ont annoncé avoir mené des frappes chirurgicales contre des cibles terroristes, neutralisant plusieurs assaillants et détruisant une base et des véhicules.
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