Au Bénin, les membres du Conseil supérieur des comptes ont été nommés par décret lors du Conseil des ministres, mercredi 19 juin 2024, sur recommandation du ministre de la Justice.
Trois ministres du gouvernement de Patrice Talon ont été désignés pour siéger au sein de cet organe. Selon le décret de nomination consulté Yvon Détchénou, ministre de la Justice, Romuald Wadagni, ministre d’État chargé de l’Économie et des Finances, ainsi que Adidjatou Mathys, ministre du Travail et de la Fonction publique, exerceront leurs fonctions de membres du Conseil supérieur des comptes pour les quatre prochaines années. Le ministre de la Justice occupera le poste de vice-président du Conseil.
La présidence du Conseil supérieur des comptes est confiée à Ismath Bio Tchané Mamadou, actuelle présidente de la Cour des comptes. Les membres de droit du Conseil incluent le procureur général de la Cour des comptes, Joël Darius Zodjihoué, le président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l’État, Gnahoui Rock David, Michèle Odette Andrée Carrena Adossou, présidente de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des collectivités locales, ainsi que Désiré Henri Aïhou, président de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques.
Les autres membres nommés du Conseil supérieur des comptes comprennent Narcisse Zohoungbogbo, représentant titulaire des conseillers à la Cour, avec Jean Pierre Yérima Bandé comme son suppléant. Kaddi Agbédé et Adolphe Djiman occupent également des sièges de membres titulaires, assistés de leurs suppléants Bio Sourokou et Eric Pontikamou.
Conformément à la loi organique sur la Cour des comptes, le Conseil supérieur des comptes joue un rôle crucial en assistant le président de la République dans sa mission de garant de l’indépendance de la Cour des comptes et des cours régionales des comptes. Il est consulté sur toute question concernant l’indépendance des magistrats financiers et leur sécurité.
De plus, il est habilité à formuler des propositions visant à améliorer les conditions de travail des juges des juridictions financières et à participer à la discipline des magistrats, conformément à la législation en vigueur.
Au Bénin, les membres du Conseil supérieur des comptes ont été nommés par décret lors du Conseil des ministres, mercredi 19 juin 2024, sur recommandation du ministre de la Justice.
Trois ministres du gouvernement de Patrice Talon ont été désignés pour siéger au sein de cet organe. Selon le décret de nomination consulté Yvon Détchénou, ministre de la Justice, Romuald Wadagni, ministre d’État chargé de l’Économie et des Finances, ainsi que Adidjatou Mathys, ministre du Travail et de la Fonction publique, exerceront leurs fonctions de membres du Conseil supérieur des comptes pour les quatre prochaines années. Le ministre de la Justice occupera le poste de vice-président du Conseil.
La présidence du Conseil supérieur des comptes est confiée à Ismath Bio Tchané Mamadou, actuelle présidente de la Cour des comptes. Les membres de droit du Conseil incluent le procureur général de la Cour des comptes, Joël Darius Zodjihoué, le président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l’État, Gnahoui Rock David, Michèle Odette Andrée Carrena Adossou, présidente de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des collectivités locales, ainsi que Désiré Henri Aïhou, président de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques.
Les autres membres nommés du Conseil supérieur des comptes comprennent Narcisse Zohoungbogbo, représentant titulaire des conseillers à la Cour, avec Jean Pierre Yérima Bandé comme son suppléant. Kaddi Agbédé et Adolphe Djiman occupent également des sièges de membres titulaires, assistés de leurs suppléants Bio Sourokou et Eric Pontikamou.
Conformément à la loi organique sur la Cour des comptes, le Conseil supérieur des comptes joue un rôle crucial en assistant le président de la République dans sa mission de garant de l’indépendance de la Cour des comptes et des cours régionales des comptes. Il est consulté sur toute question concernant l’indépendance des magistrats financiers et leur sécurité.
De plus, il est habilité à formuler des propositions visant à améliorer les conditions de travail des juges des juridictions financières et à participer à la discipline des magistrats, conformément à la législation en vigueur.
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