La souffrance sociale et économique qui découle de ces condamnations n'est pas bénéfique pour le pays, c'est pourquoi il est primordial de mettre en place des mesures alternatives à la prison.
Plutôt que de laisser ces jeunes languir derrière les barreaux pendant des années, une proposition prometteuse consiste à mettre en place un programme de travail d'intérêt général. En collaboration avec l'établissement pénitentiaire, ces jeunes pourraient être impliqués dans des activités agricoles visant à cultiver des denrées alimentaires de première nécessité. Ces produits pourraient ensuite être vendus à prix réduit à la population, créant ainsi un fonds qui leur serait reversé à leur libération pour les aider à se réinsérer dans la société de manière positive.
Il est impératif de comprendre que l'incarcération prolongée de ces jeunes ne fera qu'aggraver les problèmes sociaux et économiques du pays. Plutôt que de construire de nouvelles prisons, il est temps de consacrer des ressources à la création d'écoles, offrant ainsi des opportunités éducatives et professionnelles aux jeunes béninois.
Il est également essentiel de sensibiliser les jeunes à l'utilisation légale et productive d'internet. Leur intelligence et leurs compétences peuvent être mises à profit de manière positive, leur permettant de se faire de l'argent facilement et légalement. L'accent doit être mis sur l'éducation, la formation et l'encadrement dans le domaine digital, afin de leur offrir des perspectives d'avenir prometteuses.
Il est temps que les autorités béninoises prennent des mesures concrètes pour protéger l'avenir de ces jeunes. La création d'un programme de réinsertion pour les cybercriminels condamnés, axé sur le travail d'intérêt général et l'encouragement des opportunités légales en ligne, pourrait être la clé d'une société plus solide et plus prospère pour tous.
La souffrance sociale et économique qui découle de ces condamnations n'est pas bénéfique pour le pays, c'est pourquoi il est primordial de mettre en place des mesures alternatives à la prison.
Plutôt que de laisser ces jeunes languir derrière les barreaux pendant des années, une proposition prometteuse consiste à mettre en place un programme de travail d'intérêt général. En collaboration avec l'établissement pénitentiaire, ces jeunes pourraient être impliqués dans des activités agricoles visant à cultiver des denrées alimentaires de première nécessité. Ces produits pourraient ensuite être vendus à prix réduit à la population, créant ainsi un fonds qui leur serait reversé à leur libération pour les aider à se réinsérer dans la société de manière positive.
Il est impératif de comprendre que l'incarcération prolongée de ces jeunes ne fera qu'aggraver les problèmes sociaux et économiques du pays. Plutôt que de construire de nouvelles prisons, il est temps de consacrer des ressources à la création d'écoles, offrant ainsi des opportunités éducatives et professionnelles aux jeunes béninois.
Il est également essentiel de sensibiliser les jeunes à l'utilisation légale et productive d'internet. Leur intelligence et leurs compétences peuvent être mises à profit de manière positive, leur permettant de se faire de l'argent facilement et légalement. L'accent doit être mis sur l'éducation, la formation et l'encadrement dans le domaine digital, afin de leur offrir des perspectives d'avenir prometteuses.
Il est temps que les autorités béninoises prennent des mesures concrètes pour protéger l'avenir de ces jeunes. La création d'un programme de réinsertion pour les cybercriminels condamnés, axé sur le travail d'intérêt général et l'encouragement des opportunités légales en ligne, pourrait être la clé d'une société plus solide et plus prospère pour tous.
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